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Aurore Joinville

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Aurore Joinville Empty Aurore Joinville

Message  Invité Jeu 15 Nov - 14:01

Prénom : Aurore

Nom : Joinville

Surnom : "Mon rossignol" (surnom donné par la seule Soeur Madeleine), pour tous les autres elle est "Mademoiselle Joinville". Personne ne l'a jamais appelé par son prénom.

Âge : 18 ans

Epoque et lieu de naissance : Née le 6 octobre 1871, à Paris

Description Physique et Psychologique :


Aurore est une jeune fille très menue au visage d'ange. Ses grands yeux clairs sont toujours emprunts d'un peu de crainte, comme si tout était danger ou soupçon pour elle. Ses cheveux sont toujours tenus en chignon comme les soeurs le lui ont appris, et elle n'imagine pas être vue un seul instant les cheveux détachés. Ils sont, de plus, bien souvent cachés sous un châle, renforçant encore l'impression de fragilité qui se dégage de toute sa personne.
Ses lèvres pulpeuses ressortent d'autant plus qu'elles contrastent avec un visage très pâle, presque maladif.
Aurore n'est pas très grande, elle mesure 1m54 et porte toujours de fines sandales. Sa petite taille lui permet ainsi de se cacher facilement et de se faufiler partout, ce qui est un énorme avantage pour elle car elle est pourvue d'une très grande curiosité.
Elle attire le regard non par son exubérance mais au contraire par cette sensibilité qui se voit dans tous ses gestes, jusque dans sa voix. Sa voix chantante est un pur cristal, mais peu de personnes ne l'ont véritablement entendue, d'abord parce qu'elle parle peu mais surtout parce que lorsqu'elle le fait il faut tendre l'oreille, son timbre de voix, fragile, n'étant pas plus fort qu'un murmure.
Ses mains montrent qu'Aurore est habituée au travail manuel (couture, cuisine, jardinage dans le couvent des soeurs, ...) aucune corvée ne la rebute. Ses ongles sont donc coupés très courts.
Lorsqu'elle est seule elle s'adonne à ses occupations favorites, la lecture, le chant et la prière. Son chant pur et clair lui a valu le surnom affectueux que lui donne Soeur Madeleine, "Mon Rossignol". Son front haut et ses sourcils bien droits indiquent une farouche détermination et une grande intelligence, ce qui est rare pour une femme à cette époque.

Ordre choisi : Explorateur

Métier exercé dans l'époque d'origine : Novice chez les sœurs du couvent Sainte-Marie-mère-des-pauvres

Métier ou fonction après son premier voyage : Non connu

Histoire :




Chapitre 1 : Les jeunes années
Depuis la proclamation de la république, rien ne va plus à Paris. La ville est assiégée par les armées prussiennes et la population est à l’agonie. Nous sommes en décembre 1870 et Marie Joinville n’est qu’une femme parmi tant d’autres dans cette populace qui meurt de faim.

A 19 ans, elle a quitté sa famille pour suivre son mari à Paris, tenancier d’une taverne au cœur de la capitale. La campagnarde qui n’est jamais sortie de son village natal a dû se familiariser avec cette nouvelle vie, servir les ouvriers qui viennent dépenser leur solde et oublier dans l’alcool leur misérable vie, accepter les remarques grivoises et les gestes déplacés, tout cela pour pouvoir subsister dans leur misérable appartement derrière la boutique.

En cette fin d’année 1870, la pénurie se fait sentir et le vin ne coule plus à flot, les ouvriers ne viennent plus, ils n’ont plus de solde à dépenser, plus pour ces dépenses inutiles du moins. Le commerce périclite doucement et Maxime le mari de Marie, qui a bientôt 50 ans, va de plus en plus mal. Les crises de goutte le clouent au lit bien souvent et c’est Marie qui doit continuer à faire tourner le commerce. Mais les rares clients qui viennent encore sont de plus en plus entreprenants et Marie vit cette situation avec de plus en plus de difficultés.

Un jour, un client aisé qui a pris ses habitudes dans la place, lui propose de lui donner beaucoup d’argent si elle accepte de venir chez lui lui rendre un genre de service très particulier. Elle refuse et le chasse de l’établissement mais il revient tous les jours et devient de plus en plus insistant.

L’argent commence à manquer et l’état de santé de Maxime s’aggrave de jour en jour. Elle ne peut plus payer le médecin et les médicaments qui permettent de soulager son mari, voire le remettre sur pied. Alors, un soir, elle finit par accepter de suivre le client chez lui et de faire ce qu’il lui demande. Rouge de honte, humiliée, elle quittera tard ce soir là la résidence luxueuse du bourgeois, avec une somme d’argent bien rondelette. Mais l’argent file vite entre les doigts et les visites se font de plus en plus rapprochées.

Un matin, elle se lève avec la nausée et comprend qu’elle est tombée enceinte, il ne fait aucun doute que Maxime n’est pas le père. Elle cherche à cacher son état mais les nausées se succèdent et Maxime finit par comprendre qu’elle lui a été infidèle. Il rentre alors dans une furie dévastatrice et la chasse du logis avec un maigre ballot comme possession.

Affaiblie par sa grossesse, sans un sou en poche, Marie essaye de subsister quelques jours dans la rue, mais bien vite elle n’a d’autres choix que d’aller demander protection au père de son futur enfant, le comte de Brobourg.

Celui-ci l’embauchera comme aide de cuisine et lui allouera une chambre de misère au dernier étage de la maison. C’est dans cette indigence qu’elle accouchera le 6 octobre 1871 d’une jolie petite fille qu’elle appellera Aurore, car c’est la seule chose qui égayera sa misérable vie et c’est aussi ce qui la conduira aux portes de la mort. Quelques jours plus tard, les assauts répétés du comte qui avait repris dès le lendemain de la naissance occasionnèrent une hémorragie qui la terrassa soudainement. Elle mourut seule dans sa chambre, tenant sa fille dans ses bras.

Aurore fut rapidement confiée aux sœurs du couvent Sainte-Marie-mère-des-pauvres et fut oubliée là. Jamais le comte ne cherchera à la revoir, jamais il ne donnera quoi ce soit aux sœurs pour son éducation. Il avait tout simplement rayé de sa vie mère et fille.

Aurore pourtant ne manqua de rien tout le temps qu’elle vécut chez les sœurs. Sœur Madeleine, alors âgée de 45 ans, prit aussitôt sous sa protection ce joli poupon rose qui lui avait été confié. Elle lui apprit tout ce qu’une mère doit apprendre à son enfant et plus encore. Aurore apprit donc à cuisiner, à coudre mais aussi à lire, à compter, à écrire et à prier dieu et le remercier de tout ce qu’il lui avait apporté.

Douée d’une très grande intelligence, elle rentra très vite dans les bonnes grâces de la mère supérieure et suivit la voie toute indiquée pour elle, rentrer dans les ordres, elle devint donc novice dès l'âge requis. Il n’y avait qu’une seule ombre à ce tableau idyllique, son passé. Ce passé qui la perturbait de plus en plus. « Qui était-elle ? D’où venait-elle ? » Demandait-elle souvent à sœur Madeleine. Mais celle-ci éludait toujours la question, ne souhaitant pas lui raconter le destin tragique de sa mère et l’abandon dont elle avait fait l’objet.

Mais le destin joue quelques fois de bien vilains tours et le destin s’est mis en marche pour Aurore le 4 septembre 1886.





Chapitre 2 : La maturation
Aurore allait sur ses 15 ans lorsque son chemin croisa celui du comte, ou plutôt celui de son fils Martin alors âgé de 23 ans. Martin était un jeune médecin qui officiait à l’hôpital public du Xième arrondissement de Paris. Ce jour là, Aurore était venue à l’hôpital à la place de Sœur Madeleine trop souffrante pour s’acquitter de sa visite hebdomadaire aux jeunes malades.

C’est donc Aurore qui était partie ce matin là faire sa tournée. Elle se présenta à l’accueil de l’hôpital et une infirmière vint la chercher pour la conduire dans le service des tuberculeux. Elles parcoururent l’une derrière l’autre un dédale de couloirs gris, montèrent des escaliers, passèrent devant une multitude de portes fermées pour finir par rentrer dans une salle à l'écart, où une série de lits étaient alignés contre les murs.

Aurélie compta mentalement qu’il y avait 20 petits lits dans la pièce et que tous étaient occupés par un enfant, le plus âgé devait avoir 16 ans. Elle s’arrêta interdite au seuil de la pièce pendant que l’infirmière rebroussait chemin sa tâche accomplie. Après avoir embrassée la salle du regard, elle posa son panier contenant quelques petits cadeaux et autres sucreries pour les malades et commença à déambuler dans la pièce n’osant parler. Le silence n’était rompu que par la toux des poitrinaires qui fusait de part et d’autre de la pièce.

Tout à coup, une voix masculine s’éleva et elle se retourna promptement pour faire face à un homme d’allure svelte en costume blanc et une trousse médicale à la main. Le cœur d’Aurore explosa en mille morceaux et ses joues s’enflammèrent à la simple vue de cet homme beau comme le jour. Un sourire se dessinait sur le visage du jeune médecin pendant qu’il détaillait Aurore des pieds à la tête d’un air approbateur. Clouée au sol par un aimant puissant, elle était bien incapable de parler ni même de faire le moindre geste. C’était donc Martin, car c’était bien lui, qui avait dû la rejoindre à grandes enjambées et lui tendre la main en signe de bienvenue.

Martin avait tout de suite reconnu l’habit des sœurs du couvent et avait immédiatement compris que sœur Madeleine s’était ce jour là fait remplacer. A partir de ce jour, c’est Aurore qui rendit chaque samedi visite aux petits tuberculeux et chaque semaine Martin s’arrangeait pour faire ses visites au même moment.

Cela dura trois ans, trois ans de rendez-vous clandestins et de baisers volés, de mots doux échangés. Tout bascula un beau matin, lorsque Martin décida d’aller demander la main d’Aurore à la mère supérieure et découvrit qu’Aurore était sa demi-sœur.

Furieux contre son père il se précipita aussitôt son entrevue avec la mère supérieure terminée dans la demeure familiale. Il fut reçu avec un grand éclat de rires quand son père apprit qu’il s’était amouraché de la petite vermine qu’il avait engendrée dix huit ans plus tôt.

Martin, fou de douleur, erra longtemps dans les rues de Paris, allant de bar en bar, ne sachant que faire d’autre que de s’enivrer pour oublier. Lorsque tous les débits de boisson furent fermés, il se décida enfin à rentrer se coucher. Le lendemain, il avait prit une décision : quitter Paris au plus vite et ne plus jamais revoir Aurore.

Il fit rapidement sa valise et quitta la maison familiale sans se retourner, avec la ferme intention de n’y revenir jamais. Il se dirigea rapidement vers l’hôpital et demanda à voir séance tenante le directeur auquel il expliqua qu’il souhaitait démissionner sur l’heure suite à de graves soucis familiaux qui nécessitaient sa présence près de sa mère, qui résidait à Londres depuis fort longtemps. Le directeur, soucieux, le laissa partir sans tenter de le retenir et Martin prit le premier bateau sans chercher à en connaître la destination. Sa vie était finie, vivre ne l’intéressait plus, il voulait simplement partir à tout jamais.




Chapitre 3 : La rupture
Lorsqu’Aurore le samedi suivant vit que Martin n’était pas là elle fut surprise, car en trois ans jamais ils n’avaient raté leurs rendez-vous. Mais lorsqu’elle croisa le samedi suivant un tout jeune médecin qu’elle ne connaissait pas, son inquiétude se transforma en angoisse. Elle n’osa pas lui parler et se morfondit une semaine encore avant de comprendre que Martin n’éclairerait plus son horizon.

Lorsqu’elle rentra au couvent, Sœur Madeleine vit les yeux rougis d’Aurore et comprit que quelque chose de très grave venait de se passer. Elle essaya de parler à Aurore mais celle-ci s’était murée dans le silence. Elle refusa bientôt de s’alimenter et se laissa mourir à petit feu, heureuse de quitter ce monde qui lui avait dérobé le seul être qu’elle aimait.

Sœur Madeleine dut bientôt avertir la mère supérieure qui ne put que constater qu’Aurore était en train de partir. La mère supérieure ne pouvait pas supporter cela sans rien faire, alors un soir, elle s’installa sur une chaise à côté du lit de mort d’Aurore et lui raconta tout ce qu’elle savait en pleurant. Aurore écoutait dans le brouillard de l’inconscience les paroles de la mère mais ce qu’elle entendit l’horrifia tellement que dans un dernier sursaut de conscience, elle rejeta les draps et se mit à hurler comme une hystérique. Aurore avait décidé finalement de vivre, de se venger, de faire payer à son père tout ce que celui ci lui avait fait, tout ce qu’il avait fait à ses parents, à son seul amour, de l’éradiquer de la terre, de lui faire manger l’herbe par la racine.

Elle ne savait pas encore comment faire, mais pour l’heure il fallait qu’elle reprenne des forces, qu’elle se prépare à lutter contre l’être le plus abject au monde, son propre père.
Elle commença à se réalimenter lentement, put à nouveau s’asseoir dans son lit, se lever quelques instants, faire le tour de la pièce, et un jour elle se sentit prête à l’affronter. Elle savait qu’il serait inutile de paraître devant lui, drapée dans sa dignité, qu’il ne ferait que la chasser en l’insultant. Alors elle chercha à savoir ce qu’il faisait, quels étaient ses amis et surtout ses ennemis, car des ennemis il devait en avoir de nombreux.

Sur les indications de la mère supérieure, elle trouva très rapidement la demeure où elle était née et vit pour la première fois son père, un homme finalement assez quelconque, vieilli par la mauvaise vie qu'il avait mené jusqu'à présent et toujours penché sur une canne qui l'aidait à se déplacer. Les cheveux mi-long grisonnants avec une calvitie très prononcée semblaient indiquer qu'il devait avoir une cinquantaine d'années et ses yeux, petits et acérés, montraient toute la fourberie de cet être immonde.

Elle passa plusieurs jours à l’espionner, marchant dans son ombre, scrutant chaque fait et geste, inscrivant dans sa mémoire tous les lieux où il se rendait régulièrement. Un jour où elle s’attachait à ses pas, elle le vit parler avec un homme en noir. Elle resta cachée de longues minutes mais elle était trop loin pour entendre leur conversation.

Dans les jours qui suivirent elle continua à espionner leurs rendez-vous. Ils n’avaient jamais lieu au même endroit et chaque fois elle avait cette impression qu’il se tramait quelque chose d’anormal. Certainement encore une nouvelle manigance de cet être immonde qu’était son père, mais que complotaient ces deux êtres ?

Et puis un jour elle vit le comte de Brobourg quitter sa demeure avec une grosse valise, comme s’il partait en voyage. Elle le suivit discrètement comme à son habitude et le vit s’approcher à nouveau de l’homme en noir. Seulement ce fut la dernière fois qu’elle le vit, car au bout de quelques minutes de conversation, elle fut propulsée en arrière par un gigantesque souffle. Lorsqu’elle se releva les deux hommes avaient disparu et elle était seule. Elle avait perdu la trace du comte, seule sa valise était restée sur le sol, grande ouverte.

Les jours suivants elle eut beau patienter devant la demeure du comte, elle ne put l’apercevoir. Par contre des inconnus entraient et sortaient du manoir dans une effervescence anormale. Elle se mit à écouter ces inconnus et bien vite elle comprit que le comte ne reviendrait pas et qu’il avait tout simplement disparu de la circulation. Elle comprit aussi que ce n’était pas le seul à disparaître, que de plus en plus de personnes disparaissaient et que si certains revenaient au bout de quelques jours, de nombreux ne réapparaissaient jamais.

Alors elle se demanda si Martin lui aussi n’avait pas été happé par une force inconnue qui l’aurait fait disparaître et elle ne pensa plus qu’à une seule chose, partir elle aussi. Où qu’ils soient allés, elle devait absolument retrouver et le père et le fils.

Un jour l’homme en noir se présenta au couvent et demanda à lui parler. Il avait entendu son appel muet et venait la chercher. Il lui donna rendez vous tôt le lendemain en un lieu secret et lui demanda de ne prendre que ce qu’elle pourrait porter dans ses poches.

Elle réfléchit toute la nuit, se tournant et se retournant dans son lit mais au petit matin elle était prête pour l’aventure. Dans ses poches, elle avait simplement pris un petit canif et son chapelet qui ne la quittait jamais. Là où elle irait elle aurait besoin de souvent prier dieu pour lui venir en aide.

Possessions : Un petit canif et le chapelet que lui a donné Sœur Madeleine

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Message  Le Dévoreur de temps Jeu 15 Nov - 21:30

Bonsoir Aurore,

Je viens de finir de lire ta fiche et je dois dire que j'ai été touché par le destin de ton personnage, agréablement captivé par cette histoire écrite avec sobriété et concision mais néanmoins dans un style alerte et prenant. Le début qui narre la vie de Marie au présent m'a plongé dans le contexte et j'ai pu imaginer la vie sordide des petites gens dans une capitale en état de siège à la veille de la fin de l'Empire. Le coup du destin est bien amené par la rupture de temps et le passage au passé (quelques petites fautes de conjugaison-troisième personne du singulier de certains verbes- sont à revoir, mais rien de bien grave)

L'époque se prêtait bien aux destins tragiques et Marie et Aurore me font penser aux héroïnes du très controversé Xavier de Montépin qui a pourtant écrit "la porteuse de pain", histoire d'une femme portée par la vengeance, elle aussi, contre la cruauté d'un homme.

Tu amènes avec un touche de mystère l'apparition du Dévoreur et introduis habilement le premier contact. Nul doute qu'il viendra bien te chercher ! Ta fiche est donc pré- validée (moyennant la correction des rares fautes évoquées).

Je te souhaite un bon jeu parmi nous !

* S'en va accueillir la nouvelle venue ne pouvant s'empêcher de sourire à la pensée que toutes ses voyageuses entretiennent des sentiments troubles pour leur frère ou demi frère !

Edit du Dévoreur: J'ai omis de te dire que tu pouvais copier ta fiche dans les voyageurs en chemin afin que je puisse ouvrir le RP à sa suite. Celle qui se trouve ici sera déplacée avec ses commentaires dans ce qui sera plus tard ton espace personnel pour gérer ton personnage dans " Au fil du Temps".
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