Prénom : Cassidy
Nom : Everhart
Surnom : Cassie
Âge : 32 ans
Époque et lieu de naissance : De nos jours, le 18 mars à New York.
Métier exercé : Avocate
Référent voyageur choisi (facultatif) : pas pour le moment
Physique, Caractère : • Physique :Dois-je vraiment vous parler de mon physique ? Vous ne vous êtes pas rendu compte que j’étais une femme ? Très féminine, sexy même (c'est ce que tous les hommes me disent). Je porte à longueur de journées des tailleurs jupes et des chemisiers qui dessinent ma silhouette, des talons hauts qui accentuent le galbe de mes longues jambes. Ce n’est pas parce que je dois passer des heures à plaider devant un juge et des jurés, ou à consulter des dossiers ou bien à rendre visite à un client derrière les barreaux que je dois oublier d’être séduisante. Très grande, 1 m74, brune aux cheveux longs, yeux légèrement en amande et de couleur bleu-vert, je ne passe pas inaperçue auprès de la gente masculine même si je suis loin d’être une croqueuse d’hommes. Je suis tout le contraire et je préfère me tenir éloigner d'eux même si j'en côtoie très souvent dans mon entourage professionnel. Mon expérience m'a apprise que je n'étais pas faite pour ce genre de relation.
• Caractère : Déterminée - Se découvrira jalouse - Têtue - Courageuse - Curieuse
Je suis l'une des meilleures avocates de ma génération. Je ne dis pas cela par arrogance ou par orgueil mal placé. Non ! J'ai travaillé très dur pour arriver à ce niveau de compétence et de carrière. J'ai été embauchée dans l'un des gros cabinets où j'avais fait mes stages d'étudiante, gagnant tous les dossiers que l'on me remettait entre les mains. Je sais ce que vous allez me dire, que j'ai défendu des criminels. Non, croyez-moi, je n'ai jamais défendu les violeurs, les pédophiles, les tueurs et autres types de ce genre. Beaucoup de mes confrères le font sans soucis de conscience, mais pas moi. Je n'aurai pas pu continuer mon métier si je m'étais rabaissée à ce genre de pratiques. Mais dès lors que mon intuition me dit que mon client est innocent, je mets tout en œuvre pour l'aider, jusqu'à enquêter moi-même sur le terrain, avec la police, parfois avec des journalistes pour trouver les bonnes preuves. La détermination est certainement ce qui me caractérise le mieux. Fonceuse et curieuse, j'ai un besoin de réponses aux questions qui restent en suspens, d'informations pour éclairer un dossier même si je dois me retrouver face à un danger.
Côté vie privée, je suis célibataire. Quel homme pourrait partager ma vie tumultueuse ? Toujours sur un dossier, à me déplacer de ville en ville pour récolter des renseignements. Et je suis très bien ainsi. Je n'ai jamais su faire avec les hommes. On peut-être excellente dans son métier et être totalement à côté de la plaque lorsqu'il s'agit de sa vie amoureuse qui ressemble, pour ma part, à un immense vide.
Histoire :
- Les jeunes années -
Je suis née à New York, la grosse pomme comme on aime la nommer. C'est la plus grande ville des États-Unis et l'une des plus importantes du continent américain. Elle se situe dans le Nord-Est des États-Unis, sur la côte atlantique, à l'extrémité sud-est de l'État de New York. La ville de New York se compose de cinq arrondissements appelés boroughs : Manhattan, Brooklyn, Queens, le Bronx et Staten Island. Je suis une New-yorkaise et fière de l'être. Il faut aimer ses températures qui oscillent entre le 28°C en été et le - 25°C en hiver. Moi, j'adore, les étés chauds où l'on peut enfin se dévêtir et profiter du soleil, cette neige en hiver, les grands sapins de Noël, les lumières dans les jardins. Je suis restée très attachée aux fêtes et ce sont les meilleurs souvenirs de mon enfance. Unique enfant d’un couple sans histoires, ma mère, infirmière au Mount Sinai Hospital. Elle a mis sa carrière entre parenthèse au moment de ma naissance. Ma mère a eu beaucoup de mal à tomber enceinte et ce qu’elle définissait comme une bénédiction de Dieu (ma mère était très croyante, elle l’est toujours) devenait alors sa priorité. Mon père, grand avocat, a poursuivi sa montée dans la reconnaissance de ses pairs au point de voir son nom associé à celui d’un grand cabinet : Davenport-Wenders-Everhart.
J’ai grandi dans un des quartiers résidentiels de New York, ces quartiers tranquilles où les maisons fleurissent et les voisins deviennent votre seconde famille. Petite fille sage, j’étais un vrai petit ange (ce qui changera légèrement à l’âge adulte). Ma mère avait pris un congé parental puis une disponibilité pour définitivement démissionner de l’hôpital pour m’élever. Mais elle n’oublia pas sa vocation, devenant bénévole dans un dispensaire quelques heures par semaine quand j’étais à l’école. Bon, maintenant que j’ai posé plus ou moins les bases concernant ma vie, le sujet qui vous intéresse, c’est moi, pas vrai ? Comme je vous le disais un peu plus haut, j’étais chouchoutée et aimée. Mon père travaillait beaucoup et il est vrai que je le voyais très peu. Il rentrait toujours tard alors que moi j’étais déjà au lit pour ne pas être fatiguée, le lendemain à l’école. Mais mon père mettait toujours un point d’honneur à passer ses vacances en famille loin de tous dossiers. Il avait acquis assez d’expérience et d’influence pour se permettre une telle exigence. Mais il fallait avouer que Christian Everhart était le plus doué des avocats de sa génération et qu’il ne perdait aucune affaire. Mon père était mon héros qui défendait les gens contre tous ces méchants.
Je voulais lui ressembler et être comme lui. Alors, il était tout à fait logique que je suive sa voie. Dès adolescente, quand on me posait la question de ce que je voulais faire comme métier quand je serais grande, je répondais immédiatement : « comme papa ! ». Et mon père souriait fière de ma réponse, m’ébouriffant les cheveux avec sa main. Les années passèrent et j’entrai à l’Université de New York dont le campus principal est situé dans le quartier de Greenwich Village dans le borough de Manhattan. Si j’avais été une élève modèle durant tout mon parcours scolaire, mes amies avaient une certaine tendance à m’extraire de mes livres de droit pour aller à une fête, au cinéma ou seulement pour parler des mecs. Les mecs …. Parlons-en… J’étais un vrai rat de bibliothèque et les garçons n’étaient absolument pas ma priorité. Tandis que mes amies parlaient de leurs premières expériences sexuelles et de leurs sentiments, moi je me cantonnais dans le rôle de la bonne copine et de la meilleure étudiante de ma classe. Mon père discutait souvent de ses anciennes affaires, mais jamais de celles qu’il avait en cours tout comme il me racontait qu’il ne fallait jamais que je perde de vue ma motivation et ce pourquoi je voulais devenir avocate. Beaucoup étaient attirés par l’agent sans se soucier s’ils défendaient des voleurs, des assassins ou des violeurs. Certains acceptaient des pots de vin pour défendre des voyous, des hors la-loi. C’était en me respectant moi-même que j’arriverais à respecter mes clients et que l’on me respecterait par la suite. C’était une vision et un leitmotiv qui ne me lâcheraient jamais.
- La maturation -
Voilà ... Le jour de mon diplôme était arrivé ! J'avais obtenu les félicitations de mes professeurs et de mon mentor qui m'avait guidée et aidée pour mon mémoire ainsi que les éloges de mes parents. Durant ma dernière année à l'Université, j'avais étudié sans m'arrêter un instant. C'était l'impression que j'avais eue maintenant que tout était terminé. Néanmoins, sous la pression incessante de mes bonnes amies, je m'étais laissée entrainer à une fête pour le nouvel an qui avait bien commencé, mais très mal fini. A 24 ans, n'avoir jamais couché avec un garçon faisait de moi une extraterrestre. L'alcool aidant, ce que je n'aurais jamais, j'étais plus encline à me laisser séduire, mettant de côté cette image de jeune femme trop sérieuse. D'après les copines, j'avais un potentiel sexy que je dissimulais sous la tonne de livres que je dévorais. Être sexy, c'est une chose. Savoir se servir de son côté glamour et de la séduction pour attirer les hommes, c'est tout un art ... que je ne possédais pas ! Ingurgiter plusieurs verres de punch ne m'aida pas à réfléchir convenablement sur la situation dans laquelle je venais de mettre les pieds. Il était beau, mais trop saoul lui aussi. Je me suis retrouvée dans une chambre à l'étage de cette maison, mes vêtements qui jonchaient sur le sol et l'amère impression que je n'étais pas faite pour ce genre de relation. S'il avait pris son pied comme il ne cessait de me le répéter en se rhabillant, moi par contre, j'étais tétanisée. Je n'avais ressenti que de la douleur et la sensation de n'être qu'une poupée dont on se servait pour son plaisir personnel. Je n'aurai jamais dû accepter. Cela aurait pu être une excellente manière de fêter la nouvelle année ... Mais pas pour moi. A partir de cette nuit-là, je me suis promise de ne plus jamais approcher un homme d'aussi près. Je ne devais pas me leurrer. Je n'étais pas faite pour ce genre d'exercices à deux.
Mon métier était ma passion et cela me suffisait amplement. Pendant mes années à l'Université, j'avais fait de nombreux stages dans un cabinet tout aussi réputé que celui dans lequel mon père travaillait et où il était depuis plusieurs années maintenant, l'une des figures de proue, incontournable. Le cabinet se nommait « Barker & Co ». Harry Barker connaissait mon père et il n'avait cessé de le démarcher dans ses jeunes années pour l'avoir à ses côtés. Mais mon père avait toujours refusé, restant fidèle à ses premiers employeurs. Être la fille de Christian Everhart m’a certainement aidée à trouver un travail, mais mon dossier, mes notes et les commentaires élogieux de mes professeurs m’ont aidée aussi à prouver que je n’étais pas simplement un nom et que j’avais des compétences dans ce domaine. On me confia mes premières affaires : des vols surtout ou des agressions. J’avais toujours en tête les conseils de mon père et même si je débutais dans ce monde de requins, je devais aussi prouver ma volonté de ne pas être une marionnette. J’ai refusé une fois, un dossier qui concernait une affaire de viol sur une mineure. J’avais étudié toutes les conclusions, je m’étais rendue auprès de la jeune fille qui était la victime de son oncle. J’avais pu me renseigner auprès des voisins et après avoir pu rassembler toutes les preuves dont j’avais besoin j’avais refusé d’être l’avocate de l’oncle. Une décision qui avait surpris mon patron, mais en m’écoutant il avait compris mes raisons. Son cabinet avait une réputation et lui aussi suivait une voie qui me plaisait : il ne défendait pas les criminels, mais les victimes.
Les années passèrent et je pris de plus en plus d’importance dans le cabinet de Barker & Co. Harry Barker approchait de la soixantaine et il laissait à ses poulains toute latitude pour gérer les grosses affaires. J’en faisais partie et j’étais fière d’avoir atteint une telle confiance de la part de mon patron. Ma vie professionnelle était un vrai feu d’artifice. Au palais de Justice, on me reconnaissait rien qu’au bruit de mes talons sur le sol lumineux, à ma démarche déterminée, aux tailleurs élégants que je portais, aux arguments infaillibles que je démontrais à chacun des procès, à cette force que je dégageais. Ma vie privée était un vrai fiasco, car je me refusais à créer un quelconque lien plus personnel avec un homme, convaincue de ne pas être à la hauteur dans ce genre de relation. J'étais encore marquée malgré les années qui avaient passé par ma toute première expérience foireuse. J'acceptais, malgré-tout, des invitations aux restaurants, à prendre un verre dans un bar pour passer une bonne soirée, mais ça n'allait jamais au-delà des espérances de mes cavaliers.
- Rupture -
- Harry Barker, s’il vous plait ?Je levai la tête de mon dossier pour détailler l’homme en costume sombre et cravate qui me dévisageait à son tour. Il portait des lunettes foncées qu’il n’avait pas retirées et sa voix grave me donna une sensation de froid soudainement.
- C’est le bureau au fond du couloir.Il ne m’adressa aucun remerciement et disparut de mon champ de vision. Sauf que j’avais une mauvaise impression qui ne cessait de grandir. Je fis reculer mon fauteuil à roulettes et ma curiosité reprit le dessus. Quelque chose clochait mais je ne savais pas quoi. Je me dépêchais de rejoindre le bureau de mon patron pour essayer d'en savoir davantage. Je n'avais pas besoin de jouer la petite fouine. Les voix des deux hommes s'élevaient de derrière la porte.
- Vous n’avez pas votre mot à dire Monsieur Barker ! Vous prenez cette affaire et vous me mettez ce reporter derrière les barreaux. Il y a assez de plaintes contre lui pour le coincer ! Une fois hors course, il ne nous causera plus d’ennuis. - Mon cabinet suit une ligne de conduite à laquelle je n’ai jamais failli ! Si ces plaintes sont constructives et qu’il est coupable, nous le poursuivrons en justice. Si ce n’est pas le cas, je ne le ferai pas ! - Vous devriez faire attention Monsieur Barker ! Votre femme est une charmante personne qui a ses habitudes quotidiennes …- Ne touchez pas à ma femme ! - Alors faites le nécessaire ! Vous êtes l’un des plus gros cabinets d’avocats ! Cette affaire entre vos mains démontrera que les reporters n’ont pas toujours raison et que la justice est toujours gagnante ! Je vous conseille de mettre toute votre énergie dans ce dossier. Nous vous recontacterons …Je me faufilai dans la pièce voisine pour éviter qu’il ne me voie. Il n’avait pas refermé la porte du bureau d’Harry Barker. Je ne comprenais pas toute la portée de la conversation mais j’étais certaine d’une chose : on obligeait mon patron à accepter un dossier parce que son cabinet était réputé et que cela jouerait sur la vision des médias. Cet inconnu avait même menacé de s’en prendre à sa femme. Je fis alors mon apparition dans le bureau.
- De quoi parle ce dossier ? - Ne vous en mêlez pas Cassidy …Sans attendre son autorisation, je pris le dossier et je commençai à le feuilleter. Toute la première partie était constituée de diverses plaintes et toutes avaient le même point commun : un reporter/photographe nommé : Ethan Deloir.
- Pourquoi veut-on mettre sur la touche un reporter ? Il ferait partie des paparazzis qui traquent des célébrités et violent leur vie privé, je dirai, pourquoi pas … mais là. Un reporter n’était-il pas censé chercher la vérité ? - Cassidy !! Il est hors de question que je vous mette sur ce dossier. - Monsieur Barker, vous et votre femme, vous êtes en danger. Mettre un innocent derrière les barreaux cela n’a jamais été notre façon de fonctionner. Alors la seule solution pour obtenir la vérité, c’est d’accepter de s’occuper de ce dossier. Officiellement, on va tenter de mettre ce reporter en cellule. Officieusement, je vais chercher pourquoi cet homme est devenu dérangeant et pour qui travaille cet homme qui est venu vous rendre visite. - C’est beaucoup trop dangereux Cassidy, je ne peux pas vous demander cela … S’ils se doutent que vous fouinez au-delà de ce que l’on nous dit de faire, tout va se retourner contre nous ! - Vous ne me le demandez pas Monsieur Barker. Je prends ce dossier parce que je veux travailler dessus. Je ne vous mettrai pas en danger. Vous avez remis ce dossier à l’un de vos avocats. C’est tout ce qu’ils doivent savoir. C’était risqué mais je pouvais peut-être remonter jusqu’à cette source qui menaçait mon patron et sa femme et savoir sur quoi ce reporter enquêtait pour devenir une telle cible.
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Possessions : Énumérez les objets que votre personnage tient pour très précieux et qu'il porte sur lui.
- Son sac à main, type Chanel. On est class ou on ne l'est pas.
- Son carnet où elle note tout ce qui peut lui passer par la tête, tant sur le plan professionnel que privé.
- Son téléphone portable.
Permissions : Autorisez-vous la pnjisation de votre personnage par vos partenaires ? Merci de spécifier sur le pnjisomètre votre tolérance.
- aucune : "je suis absolument et définitivement allergique à toute pnjisation" ( auquel cas lors d'une absence prolongée dans un RP multi-joueur, vos partenaires devront faire comme si vous aviez disparu de leur champ de vision mais sans le dire, libre à vous ensuite lors de votre retour dans le rp, de trouver une explication plausible à votre "disparition")
Disponibilités in RP (cadence de jeu): 3 fois par mois
Espace personnel : Vous penserez à insérer ici le lien à votre espace personnel lorsque vous en aurez un (il ne sera visible que des membres connectés)
Décharge responsabilité : Joueurs majeurs:
"Moi, joueur du compte personnage CASSIDY EVERHART, déclare avoir pris connaissance que ce forum comporte une sous section interdite et cachée aux - 18 ans. Je prendrai soin de protéger la sensibilité des plus jeunes en usant des espaces consacrés si mes récits contiennent des propos violents, choquants ou à caractères érotiques. Toute infraction délibérée sera sanctionnée par la suppression de mon compte. Je prends connaissance de ces conditions en m'inscrivant et les accepte. L'administration du forum ne saurait en être tenue pour responsable." Crédits avatar : @ moi
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