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Les Adoptables sur les rangs

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Message  Le Dévoreur de temps Dim 20 Juil - 16:18

Voici les trois fiches qui sont en lice pour ce concours. Je n'ai malheureusement pas eu plusieurs versions pour le même PNJ; le concours départagera donc des fiches de personnages différents. Je remercie les participants qui ont joué le jeu et regrette que certains enthousiastes qui s'étaient engagés et avaient proposé des personnages ne m'aient pas proposé de fiches finalement. Mais bon, c'est comme ça ! ^^ A vos votes !
Vous avez plusieurs semaines pour exprimer vos suffrages et commenter votre choix si vous le souhaitez. J'attire particulièrement l'attention des nouveaux inscrits. Votre avis nous est précieux pour départager les fiches rédigées par ces "anciens". Les votes seront clos le 28 août et les adoptables ajoutés au carrousel.  


1.


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Ingmar Björnson


Age:37 ans,  au moment où il apparaît dans un RP (860 A.D.)

Profession:commerçant-guerrier
Né à: Né à  Holmgard (Novgorod)
Situation familiale: marié à Audr Sigriddottir, 32 ans. Trois fils de 14,10 et 2 ans,une fille de 7.
Lieu de vie: domaine près de Holmgard et le plus souvent en expédition.
Métier actuel:
Liens:  Par sa famille, se considère comme homme-lige de Thorvald Gorthünson, le roi de Drogmünd. Démétrios a rencontré une projection zorvanienne d'Ingmar en Aparadoxis.
Signe distinctif: Très grand, très fort,  très roux, des yeux bleus, limpides comme l'eau glacée.
Son épée est plus qu'imposante et, selon la coutume pour les armes de prix, a reçu un nom : Gunnlogi.( Flamme de la bataille)

Histoire:

Enfance et éducation :
Le père d'Ingmar, venu de Norvège, est originaire de l'Ile de Vargfót, aux Lofoten. Il  a établi un comptoir de commerce de fourrures et d'ambre à Holmgard. Ce n'est alors qu'une bourgade fortifiée en pays slave, étape sur la route vers le sud qu'emprunte le commerce des Varègues ( les Vikings de l'est).  Ceux-ci vont en faire  un centre d'échanges qui  la développent rapidement.
Ingmar a été élevé au milieu d'une nombreuse fratrie destinée à asseoir le prestige de la maison Björnson  dans le clan paternel avec qui les liens ne sont pas coupés, malgré la distance.
Le père entend bien conquérir la puissance et la gloire par le commerce. La puissance sera celle  des coffres remplis des monnaies d'or et d'argent venues de la chrétienté mais surtout des pays du Levant par où arrivent métaux précieux, soieries,  armes de qualité et d'étranges et merveilleux objets. La gloire, elle viendra des prouesses guerrières et physiques de ses cinq  fils, de solides gaillards éduqués tôt au maniement des armes, aux sports violents que les Varègues aiment pratiquer souvent sous forme de défis. Il sont tous d'excellents navigateurs. Björn fut lui-même  une force de la nature jusqu'à ce qu'un accident dans les rapides du Dniepr le laissa à demi paralysé d'une jambe et l'exclut des longues expéditions. Ses affaires vont prospérer en particulier quand il se spécialise dans le commerce des esclaves.
Ingmar, un dernier-né tardif, sera formé comme ses aînés à considérer que réussir sa vie, c'est accumuler une fortune, acquérir des domaines et en observant les lois du Nord se faire ainsi respecter de ses chefs et de ses voisins. Comme ce qui compte dans la vie, c'est le résultat tangible, tous les moyens sont bons pour être plus riche et plus fort aujourd'hui qu'hier et bien moins que demain. Mais attention, ce n'est pas une simple cupidité et de la vanité creuse. Le fondement en est moral et même religieux. Car c'est ainsi que l'homme honore la part de pouvoir sacré que les Dieux ont mis en lui et qu'il serait déméritant de ne pas faire fructifier. Venus de terres rudes où la survie reste précaire et ne s'obtient que par une lutte constante contre les forces hostiles de la nature, ces hommes ont mis leur honneur dans la réussite de leur destin, que ce soit par la découverte de terres  nouvelles à faire prospérer,  par le commerce pacifique ou la prédation assumée. La violence est bonne quand elle assure un meilleur bénéfice, une considération plus grande. Elle n'est pas source de plaisir mais conséquence de la nécessité. Ingmar reflète cette façon d'agir et de penser. il fait preuve de bravoure, ne s'embarrasse pas de scrupules et de sensibilité au combat. Son caractère est direct et même brusque. Ses valeurs sont celles de la famille, de l'honneur personnel et du respect des traditions. Il connaît aussi le sens de la grandeur du sacrifice et du beau geste envers un ennemi respectable

L'entrée dans la vie adulte :
Elle commence tôt à une époque où on meurt si facilement
Tous les fils Björn sillonnent les fleuves, traversent les mers et les lacs, embarqués sur les célèbres bateaux. Ils commercent dans les villes, pillent occasionnellement un monastère isolé, incendient un village où, en les traitant de païens et d'envoyés du diable, on a refusé de troquer du fer contre de splendides peaux. Comme la prouesse physique et le courage au combat sont traditionnellement très admirés, personne ne rechigne à payer de sa personne. Ingmar est tôt endurci aux blessures, à la fatigue, à l'inconfort.
Etant particulièrement fort et habile à l'épée, ses frères plus âgés se le disputent pour qu'il les accompagne dès ses treize ans . A quinze ans,  il est fiancé à la fille d'un marchand de Ladoga, mais sa promise meurt de maladie avant le mariage. La remplaçante, venue spécialement de Norvège, l'année suivante, se fait enlever par un amoureux rejeté par la famille car proscrit. La famille d'Ingmar est dédommagée mais Ingmar décide de pourchasser le voleur de fiancée qui a filé vers le Sud. Il le suit jusqu' Constantinople où il perd sa trace.
Il devient alors mercenaire dans la célèbre garde varègue que l'empereur Théophile vient de recruter.. Il a alors dix-huit ans  et il s'instruit durant ce séjour, apprenant à lire et écrire un peu  le latin, et parlant le grec byzantin.

L'épanouissement :
Son père le rappelle et il rentre à Novgorod où il se marie avec  une  belle et forte fille solidement éduquée. Il ne tarde pas à reprendre les voyages. Son père est très diminué et ses fils aînés ont la direction des affaires. Fier et dynamique, Ingmar préfère son indépendance et part en expédition avec des chefs dont les ambitions sont plus certainement orientées vers la guerre de conquête que vers le commerce. C'est ainsi qu'il va  suivre le chef varègue Rurik (Rørik)qui est en train de vassaliser les tribus slaves autour de Novgorod. Lui-même reçoit une terre où il installe son foyer. On l'y voit peu mais sa femme sait diriger le domaine en son absence. Il s'entoure d'un groupe d'hommes libres qui le considèrent comme leur chef et qui le suivent dans ses expéditions. Il reçoit au cours d'un long séjour aux Lofoten, un entraînement de berserker et fait partie du Clan des Ours, son double animal.

En 859, son père meurt. Mais durant les absences de leur cadet, les aînés ont plus ou moins capté la totalité des biens paternels, en particulier ils se sont réparti la possession des trois "knörrs", les beaux vaisseaux de la famille. La construction d'un de ces navires coûte une fortune et Ingmar hésite à réclamer sa part de cadet, car le sens sacré de la famille prédomine sur les droits de l'individu. Mais d'un autre côté, l'honneur exige qu'il reçoive son dû.
Cependant, des clans Rùs préparent une grande attaque contre Constantinople dont l'empereur Michel s'est éloigné pour combattre les Ottomans. Comme Ingmar connaît bien la ville et certaines de ses défenses, grâce à son service dans la garde varangienne, il décide de se joindre à l'expédition dont il tire peu de profit quant au butin, mais où il accroît sa réputation de bravoure.
Rentré chez lui, il retrouve Rørik proclamé Prince de Novgorod et il participe à l'unification de ce qui deviendra la Rus' de Kiev, le plus grand des états de l'Europe médiévale, la future Russie.



2.

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Maya Etcheverry, exploratrice.


Age: 34 ans
Profession: Médecin spécialisée en épidémiologie des virus de classe 5 pour Médecins sans frontières
Née à: Estérençuby, Pays-Basque, France
Situation familiale: mariée, sans enfant, ses deux parents, ses deux frères, ainsi que beaucoup de neuves et nièces
Lieu de vie: partout où son travail la conduit, New York (son domicile conjugal) et Estérençuby (maison familiale)
Métier actuel: Médecin dans  le dispensaire de Kagali,, au Sierra Leone
Liens: Nelson Picket  et Anita Detmers
Signe distinctif: Maya a un langage familier bien fleuri et jure parfois autant si ce n'est plus que ses collègues masculins, ce qui ne dérange absolument pas son époux

Histoire:
« Luis et Ruben ont l'honneur de vous annoncer la venue de leur petitE frère sœur : Maya. Papa et maman sont très heureux. Et très surpris ».
Voilà ce que reçurent les membres de la famille Etcheverry  et les amis proches. Un faire-part de naissance bleu pré-imprimé et prêt à être complété avec le nom de l'enfant, auquel une main féminine avait apporté des corrections manuscrites à l'encre rose, transformant petit en petite, frère en sœur, et ajoutant « et très surpris. ».
Bixente et Fabiola Etcheverry avaient de quoi être surpris. Alors qu'ils s'attendaient à avoir un troisième fils, les voilà finalement les heureux parents d'une petite fille ! Ils auraient pu blâmer le gynécologue pour s'être trompé sur le sexe de leur enfant. Mais le couple était tellement heureux d'avoir enfin une fille que la naissance de Maya apporta un bonheur double. Dès sa naissance, Maya fut choyée, chouchoutée et privilégiée, tant par ses parents que par ses tornades de frères.
Le rêve de maman de voir une chambre rose dans sa maison et des robes dans son panier de lessive allait être enfin réalisé... ou pas. Dès qu'elle fut en âge de marcher, Maya devint comme ses frères aînés : une enfant intrépide, qui aime courir plus vite que ses frères, dans la boue, avec leur ballon de rugby dans les mains et jouer à la bagarre jusqu'à se faire de vrais bleus. Au final, pas de chambre rose mais une aux couleurs du Biarritz olympique, comme ses frères et comme le bureau de papa. Pas de robes non plus, pour courir dans la campagne basque, ce n'était pas pratique.

Maya était un véritable garçon manqué, qui avait une incroyable autorité sur ses aînés. Si elle n'était pas une élève aussi studieuse, elle aurait pu être le reflet de ses frères. Si la fratrie se destinait à des métiers manuels, comme leur papa menuisier et Compagnon du devoir, Maya prenait davantage le goût de l'apprentissage des langues et la voie des longues études, comme sa maman bolivienne. Une polyglotte venue terminer ses études de sciences politiques en France, qui finalement n'était jamais repartie et était devenue une heureuse mère au foyer.
Enfant, Maya, rêvait d'être vétérinaire (« pour sauver la maman de Bambi », disait-elle). Cependant, un événement tragique changera ses projets.
Pour ses 12 ans, Maya fit un de ses habituels caprices. Elle réclama un voyage en Bolivie, pour rencontrer cette grand-mère bolivienne qu'elle n'avait jamais vu et qu'elle avait appris à aimer grâce à la correspondance régulière qu'elles entretenaient. Deux semaines en Amérique du sud, uniquement entre mère et fille, furent offertes à Maya, afin de surgir devant la porte de chez sa grand-mère et lui crier « surprise ! ». Ce que Maya n'avait pas prévu avec son caprice, c'était de tomber sur une femme vivant dans une précarité que même sa fille ignorait, de rencontrer une femme mourante, touchée par la fièvre bolivienne. Maya avait rêvé dès son plus jeune âge de rencontrer cette mamie de l'autre bout du monde. Un rêve brisé par des images d'agonie et par la mort de celle qu'elle avait longtemps imaginé dans ses rêves. Maya perdit pendant plusieurs mois son entrain naturel et lorsqu'elle retrouva sa gaîté, Maya se trouva aussi un nouveau but : devenir médecin là où il en manque. La petite surprise aux airs de garçon manqué allait devenir la fierté de la famille.

Pour terminer ses études de médecine, Maya déménagea aux États-Unis. Elle s'y épanouit et y rencontra Patrick, un boulanger français expatrié et sans famille. Il était tombé amoureux de sa cliente préférée. La client n'avait d'yeux que pour son boulanger. Maya était devenue la femme de Patrick, son brin de femme intègre, au corps musclé et aux formes bien réparties, au langage familier, fleuri et franc, mais piètre cuisinière.
Les déplacements de Maya, en tant que médecin pour Médecin sans frontières, ne dérangeaient pas Patrick, même si cela l'inquiétait. Il était trop fier pour l'avouer. Patrick disait, sous les encouragements de belle-maman, qu'un jour, dans un pays lointain, Maya leur trouverait peut-être l'enfant qu'il ne pouvait pas lui donner... et qu'elle n'était pas pressée d'avoir ! Patrick était aussi très fier de pouvoir se vanter auprès de ses amis américains que sa femme était en mission dans un dispensaire situé dans un pays dangereux et qu'elle ne se laissait pas faire par les militaires. Maya détestait leur air supérieur (« face aux civils, ils pètent plus haut que leur cul » disait souvent Maya en imitant la voix grave d'un gradé), elle ne les supportait pas. A part Anita Detmers, médecin militaire pour l'ONU, qu'elle rencontra lors d'une intervention suite à un massacre dans un petit village perpétré par des rebelles africains, et avec qui elle noua des liens d'amitiés.
Généralement, Maya était envoyée en Afrique et sa dernière mission l'avait conduite en Sierra Leone, où la fièvre de Lassa faisaient des ravages, et plus précisément dans  le dispensaire de Kagali. Elle se trouvait plus précisément dans un dispensaire de Kagbelle, qui se trouvait non loin d'une plage fréquentée par les trafiquants en tout genre et... un touriste qui semblait sortir du siècle dernier. Dans ce dispensaire, elle y croisera son amie Anita, envoyée par l'armée pour aider. Le touriste pique sa curiosité. Trop même, puisqu'elle découvrit l'existence du voyage dans le temps.

Ici s'arrête l'histoire écrite de Maya Etcheverry  et commence votre travail. A vous de rédiger la suite de sa fiche à votre guise en intégrant les éléments suivants:

  • Sa description physique et psychologique
  • une partie sur son enfance heureuse en compagnie de deux frères terribles
  • son goût pour les langues et les études
  • développez son état d'esprit suite à la perte de sa grand-mère, dans des conditions difficiles pour une enfant de 12 ans
  • Expliquez son changement d'idée de carrière, passant de vétérinaire à médecin pour une ONG
  • Décrire sa réaction suite à la découverte du massage d'un petit village africain et de sa rencontre avec Anita Detmers, médecin militaire arrivée sur place en même temps que Maya pour soigner les survivants. Comment ont-elles sympathisé malgré le fait qu'Anita soit militaire et que Maya les a en horreur ?
  • sa découverte du voyage dans le temps (à développer en fonction de l'évolution du RP dans Blue Hospel où Maya est PNJisée)

Ce que vous pouvez rédiger au fil des RP après validation:

  • A peine entrée en contact avec Zorvan, en bonne assoiffée de connaissances, Maya assaille Zorvan de questions de toutes sortes (sur lui, sur ses pouvoirs, sur le univers en général).
  • Maya ne cachera pas son statut de voyageuse à son mari, qui se sentira plus rassuré de la savoir en voyage à travers le temps, à faire du tourisme temporel, plutôt que dans un pays en guerre.

Conditions de validation: identique à celle des autres PJ. Vous devez en outre intégrer cette fiche à la fiche modèle d'empreinte des Citoyens Non Voyageurs et y ajouter toutes les précisions de jeu qu'elle renferme ( pnjisation, crédit avatar, rythme de postage, etc)

3.


[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]James Farell, dit le Père James


Age: 64 ans
Profession: Prêtre pour l'église épiscopale des États-Unis
Né à: Larchmont, dans le comté de Westchester
Situation familiale: célibataire
Lieu de vie:  son dispensaire, situé dans le Bronx, à New York
Métier actuel: gère un dispensaire qui accueille principalement les non voyageurs nécessiteux envoyés par le Dévoreur de Temps ainsi que les voyageurs ralliés à sa cause
Liens: Ami avec le professeur Stanzas
Signe distinctif: Il lui manque le petit doigt de la main gauche et l'intégralité de ses ongles de pied.

Histoire:
James Farell avait tout pour être un homme d'affaire richissime. Tout. Un héritage, la réputation de son nom, une intelligence incroyable. En somme, un avenir tout tracé dans l'industrie textile. Pourtant, il n'en fut rien.
La grande histoire de la famille Farell débutait en 1811. Au commencement, il y avait le grand-père de James, banquier, s'associant à son beau-père, tisserand, pour fonder Farell&Co. Leur spécialité était la confection des uniformes militaires de l'Armée de l'Union. La guerre permit aux Farell de faire leur beurre et leur réputation. Ils étaient les habilleurs des soldats l'Armée de l'Union ! Ce n'était pas rien et ils devaient maintenant faire perdurer leur empire. Il fallait un héritier. Mais il tarda tellement à se montrer que le grand-père n'eut le temps de savoir si sa belle-fille attendait un fils.

Le sauveur, James Farell troisième du nom, vit le jour le 2 janvier 1857 à Larchmont, dans le comté de Westchester, lors des vacances de Noël de la famille. La formation commença dès le plus jeune âge.
Dès 5 ans, James III suivait son père dans les usines de Farell&Co chaque fois qu'il n'était pas soumis au traitement difficile de son percepteur. Ou plutôt, il y était traîné. Le petit James préférait les séances de lectures pieuses au coin du feu, dans le petit salon de maman. Des lectures qui le faisaient s'interroger sur la vie que menait sa famille et ce qui augmentait son aversion pour la vérifier les cahiers de compte de la manufacture.

Heureusement pour James, un petit frère avait vu le jour en 1858. Un petit Edward qui, en grandissant commençait à aimer les chiffres et la texture des billets entre ses doigts. Les Farell avait un héritier de secours qui permit à James de s'adonner à sa passion secrète : la religion. Cela fit le plus grand bonheur de sa mère.
James suivit donc des études religieuses, entra dans les ordres de l'église épiscopalienne des États-Unis. Il renia ses liens avec les Farell et l'entreprise familiale qui, sous la direction de son frère âgé de 21 ans, prenait le chemin de l'argent sale, suite à la disparition subite de James II Farell.

James était devenu le Père James. Un homme sage, gentil et généreux. Il aidait les plus démunis, leur offrant le gîte et le couvert chaque fois que sa vie pieuse et désintéressée le lui permettait. Il officiait dans le Bronx, dans une petite église en brique rouge mitoyenne à une des usines de tapis de luxe de son frère. Son frère venait de temps en temps, en cachette, assister à son office. Mais juste pour faire plaisir à leur mère.

Un soir, des hommes armés entrèrent dans l'église et posèrent d'étranges questions au Père James, sur son frère et de l'argent disparu. Le Père James ne savait rien mais fut tout de même torturé. Un petit doigt fut coupé et les ongles des pieds violemment arrachés. Le Père James fut poignardé et laissé pour mort sur l'autel de sa petite église.
Le lendemain, Edward Farell, sa femme et sa mère furent retrouvés morts, égorgés chez eux. James avait perdu sa famille mais gagné un ami incroyable. Car le soir où il fut agressé, un homme au long manteau était apparu miraculeusement dans son église, sous un flash bleu. Il s'était penché au-dessus de lui, qui agonisait sur l'autel. Son futur ami lui sauva la vie et lui proposa même de devenir un Voyageur bien particulier. Le Père James refusa l'offre et fit une autre proposition à cet envoyé de Dieu qu'il trouvait d'une grande bonté et envers qui il se sentait éternellement redevable. James avait hérité de la manufacture, vendit tout et fit don de l'argent à différents orphelinats et hôpitaux. Il ne conserva qu'une chose afin d'honorer sa proposition à son sauveur : la petite usine accolée à son église, afin d'y créer un dispensaire, dont la belle porte ouvragée était ouverte aux nécessiteux et aux Voyageurs envoyés par son précieux ami Vladimir Stanzas, le Dévoreur de Temps.


Ici s'arrête l'histoire écrite de James Farell et commence votre travail. A vous de rédiger la suite de sa fiche à votre guise en intégrant les éléments suivants:

  • Sa description physique et psychologique
  • un développement du parcours religieux de James
  • une explication pour la relation conflictuel avec son frère
  • son agression qui faillit lui coûter la vie et sa rencontre (divine selon lui) avec le Dévoreur de temps, qui conduit à une solide amitié, presque à une dévotion
  • la création du dispensaire, surtout mis au service de Vladimir Stanzas

Ce que vous pouvez rédiger au fil des RP après validation:

  • l'évolution du dispensaire
  • sa dévotion de plus en plus grande pour la cause du Dévoreur de temps

Conditions de validation: identique à celle des autres PJ. Vous devez en outre intégrer cette fiche à la fiche modèle d'empreinte des Citoyens Non Voyageurs et y ajouter toutes les précisions de jeu qu'elle renferme ( pnjisation, crédit avatar, rythme de postage, etc)
La plume : Genèse et Philosophie des lieux.
Empreinte : L'histoire de Vladimir Stanzas ou comment on devient le Dévoreur de Temps
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Message  Le Dévoreur de temps Mar 16 Sep - 18:07

Bonsoir Chers Arpenteurs !

Le vote est donc clos avec beaucoup de retard de ma part. Je remercie les personnes qui ont voté. Le Père James semble être très populaire. Il sera mis à l'honneur dans la prochaine maj et dans quelques temps lors d'un event ou d'un RP. Il va rejoindre bientôt le rang des adoptables en compagnie de ses camarades participant au concours.


Merci à tous de votre implication. Wink

Votre dévoué Dev
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