Prénom : Maya
Nom : :Detcheverry
Surnom :Aucun
Âge : 33 ans
Epoque et lieu de naissance : Upadek. Née à Estérençuby, Pays-Basque, France
Métier exercé : Médecin, spécialisée en épidémiologie des virus de classe 5 pour Médecins sans frontières.
Physique :Maya est une très jolie fille, à la chevelure brune qu'elle porte longue depuis son mariage. Son teint légèrement hâlé naturellement et ses yeux de velours sombre lui donnent un charme très méditerranéen, mais son père, volontiers nationaliste, se plaît à y reconnaître le type basque accompli.
Elle a toujours regretté de s'être arrêtée de grandir à 1m67 car elle espérait sinon égaler le mètre 90 des mâles Etcheverry, au moins devenir une grande femme à l'allure sportive, dans le style des James Bond Girls. Elle s'est consolée en apprenant que Ursula Andress ne mesurait que 1m65. Adolescente, elle a pratiqué plusieurs sports mais n'a jamais perdu une silhouette toute en douceur et courbes sveltes que ses tenues unisexe masquent d'ailleurs très volontairement sitôt qu'elle est en mission. Elle ne porte petites robes ou tenues élégantes que lorsqu'elle rentre à New- York ou participe à des séminaires de virologie. Les collègues qui ne l'ont rencontrée que sur le terrain sont alors fort surpris de sa transformation . Elle jouit d'une excellente santé, de qualités d'endurance et d'adaptation indispensables dans son travail. Elle a le geste rapide et précis et en bonne fille des monts de Navarre , le pied sûr et la démarche souple de ceux qui ont suivi les troupeaux de brebis partant pour l'estive.
Caractère :Maya déborde d'énergie, d'activité, de projets et supporte difficilement de se voir cantonnée dans un rôle passif où elle devrait se contenter de suivre les ordres. Ce qui ne veut pas dire qu'elle soit indisciplinée . Dans sa famille, la place de chacun est hiérarchiquement marquée par la tradition : la mère est le pouvoir législatif, le père, l'exécutif (et un exécutif à poigne bien qu'il soit très paisible et doux de comportement). Le judiciaire se répartit en fonction de la nature du délit. A l'intérieur du foyer, la mère distribue conseils, reproches et sanctions. Pour ce qui concerne l'extérieur, c'est Bixente qui décide. Pour les cas complexes, les enfants redoutent plus que tout de devoir s'expliquer devant leurs parents réunis dont ils savent d'avance qu'ils parleront d'une seule voix.
Maya est volontiers insolente et frondeuse - sauf avec ses parents. Elle est assez dure dans ses jugements, supporte mal qu'on hésite ou qu'on se défile, comme elle dit de ceux qui n'assument pas leur choix.
Ses patients se partagent en deux clans : ceux qui la redoutent, lui reprochent d'être brusque et même dure, et ceux qui aiment justement pouvoir s'en remettre à une autorité compétente et clairement affirmée. Ses supérieurs ont la même réaction, d'autant que Maya ne sait reconnaître la hiérarchie que lorsqu'elle la juge justifiée par des compétences indiscutables ; "
Vous voulez qu'on obéisse à des cons." a-t-elle répondu au directeur d'une ONG qui lui reprochait de n'en faire qu'à sa tête
Autre trait qui attire ou repousse selon les circonstances et les personnalités : son refus du mensonge ou des hypocrisies. sauf lorsque la compassion la pousse à cacher une vérité insupportable à celui qui souffre. Son franc-parler lui a créé quelques solides inimitiés, considérée comme une forte tête par sa hiérarchie et parfois jalousée de certains de ses collègues dans la mesure où elle obtient le plus souvent gain de cause en cas de conflit dans le domaine professionnel.
Décidée, obstinée, individualiste dans ses objectifs, dans sa manière de les atteindre, rapide et vite impatientée par les "traînards", Maya n'aime pas la tendance angélique dans les milieux humanitaires. Elle ne se prive pas de souligner avec cynisme que les motivations des "philanthropes" sont souvent de soigner d'abord leur égo, de satisfaire leur besoin d'originalité, leur désir de voir le monde sous un jour aventureux et d'être quasiment intouchables quant à la valeur de leur travail. "Un urgentiste qui s'échine à Bichat , bah, un médecin de plus ! Mais Médecin du Monde, ou Médecin sans Frontières, ça a une autre gueule quand on vous présente aux amis."
Cependant, Maya a un coeur facile à s'émouvoir et son tempérament passionné et enthousiaste se retrouve dans la force de ses attachements familiaux, amoureux ou amicaux. Le médecin virologue et Maya, fille, soeur, femme, ne sont pas à confondre.
Histoire :
- Les jeunes années -
L'enfance:
« Luis et Ruben ont l'honneur de vous annoncer la venue de leur petitE frère sœur : Maya. Papa et maman sont très heureux. Et très surpris ».
Voilà ce que reçurent les membres de la famille Etcheverry et les amis proches. Un faire-part de naissance bleu pré-imprimé et prêt à être complété avec le nom de l'enfant, auquel une main féminine avait apporté des corrections manuscrites à l'encre rose, transformant petit en petite, frère en sœur, et ajoutant « et très surpris. ».
Bixente et Fabiola Etcheverry avaient de quoi être surpris. Alors qu'ils s'attendaient à avoir un troisième fils, les voilà finalement les heureux parents d'une petite fille ! Ils auraient pu blâmer le gynécologue pour s'être trompé sur le sexe de leur enfant mais la technologie était encore en rodage. D'ailleurs le couple était tellement heureux d'avoir une petite fille que la naissance de Maya apporta un bonheur double. Dès sa naissance, Maya fut choyée tant par ses parents que par ses tornades de frères.
Le rêve de maman de voir une chambre rose dans sa maison et des robes dans son panier de lessive allait être enfin réalisé...mais dès qu'elle fut en âge de marcher, Maya devint à l'image de ses frères aînés, une enfant intrépide, aimant courir plus vite que les garçons et jouer à la bagarre jusqu'à se faire de vrais bleus. Au final, pas de chambre rose mais une aux couleurs du Biarritz olympique, comme celle de ses frères et comme le bureau de papa. Pas de robes non plus, sauf pour la messe du dimanche et pour courir dans la montagne derrière les patous, les célèbres chiens de berger basques, c'était jeans, gilet de cuir et bien sûr, le fameux béret, qu'elle portait rouge comme ceux des jours de fête, concession faite à son père qui entendait qu'on ne prenne pas sa fille pour un garçon.
La fierté de la familleLa petite surprise aux airs de garçon manqué allait cependant devenir la fierté de la famille.
La fratrie se destinait à des métiers manuels, comme leur papa, menuisier et Compagnon du devoir. Fabiola, la mère, était venue de Bolivie pour terminer ses études de langues et de sciences politiques à Paris, mais en vacances dans la belle vallée de la Nive, elle y rencontra un jeune artisan menuisier-ébéniste, spécialiste des meubles basques, qui venait de rentrer au pays natal. Coup de foudre, mariage, deux garçons dans la foulée.. Fabiola se consacra à son foyer et oublia les sciences politiques . Luis avait six ans et Ruben cinq quand naquit Maya.
La famille décela très tôt les capacités intellectuelles de la petite fille qui apprit à lire à 4 ans . Elle demandait souvent que sa mère lui lise des histoires tout en lui faisant suivre du doigt les lignes imprimées. Lorsque Fabiola s'aperçut que Maya repérait dans le texte tous les noms des héros du Chat Botté, son conte préféré, elle se rendit compte que ce n'était pas un rituel enfantin pour souligner la magie du moment, mais une méthode d'auto-apprentissage global et elle décida d'initier rapidement la fillette au syllabisme. En trois mois, Maya lisait seule les aventures du Marquis de Carabas. Son père ébahi, se mit à lui enseigner quelques notions de géométrie et de calcul . Maya absorbait tout avec ravissement puis filait jouer au rugby avec les "grands " ou aider les bergers à aller traire les brebis et les chèvres.
L'an d'après, on la confia à une école privée près de Bayonne, spécialisée dans l'éducation des enfants précoces et qui pratiquait un enseignement plurilinguiste très élaboré . On lui épargna l'internat au prix de déplacements en voiture et car scolaire soigneusement planifiés.
Choyée, admirée, adulée par sa famille, connue dans son village comme la petite surdouée de la maison Detcheverry, Maya prit une assurance peu commune face au monde adulte qui l'entourait. Mais l'autorité de ses parents et le respect envers les Aînés, valeurs qui sous-tendaient les rapports sociaux de sa région, l'empêchèrent de se comporter comme une enfant gâtée. Certes elle avait ses 'idées" comme le disait son père quand elle se mettait en tête d'obtenir un privilège inhabituel à son âge ou les moyens de réaliser un projet absolument urgent, prenant le pas sur tout autre impératif. Elle savait revenir à la charge, développer ses arguments avec une logique et une obstination qui finissaient la plupart du temps par l'emporter.
Toute petite, Maya voulait être vétérinaire («pour sauver la maman de Bambi et les moutons malades», disait-elle) puis pour sauver les rhinocéros, les orang-outangs et autres animaux en danger de disparaître. Les défénseurs de l'Ours des Pyrénées reçurent le contenu de sa tirelire malgré les réticences de Luis qui se préparait à un bac professionnel pour devenir éleveur de brebis. Maya le traita d'ignorant, lui démontra que l'Ours était nécessaire pour l'équilibre de la vie sauvage et lui arracha même une modeste contribution pour la protection de la faune pyrénéenne.
Un événement tragique Pour ses 12 ans, Maya eut justement une " idée". Elle réclama un voyage en Bolivie, pour rencontrer cette grand-mère bolivienne qu'elle n'avait jamais vue et mais qu'elle avait appris à aimer à travers les récits de sa mère et les lettres échangées . Fabiola la soutint évidemment dans ce projet coûteux. Deux semaines en Amérique du sud furent offertes à Maya, et à sa mère, afin de lui permettre de surgir devant la porte de sa grand-mère en lui criant « Surprise ! ».
Ce que les deux voyageuses n'avaient pas prévu, ce fut de rencontrer une femme mourante, touchée par la fièvre hémorrhagique bolivienne et dans une situation de précarité proche du dénuement.
Les parents de Fabiola, éleveurs aisés et éduqués avaient été ruinés par les suites des réformes agraires des années cinquante et comme beaucoup s'étaient installés sur des terres défrichées, près d'un petit village isolé en zone forestière. Fabiola avait perdu son père à l'adolescence et sa mère s'était remariée avec un fermier prospère du Beni, père d'un grand fils. Fabiola n'avait pas apprécié cette nouvelle famille et, réussissant très bien en classe, elle fut soulagée de pouvoir partir en internat d'abord à La Paz puis d'être envoyée ensuite étudier en France où elle rencontra Bixente
.Celui-ci tint à venir se présenter à la mère de sa jeune épouse, mais, depuis la naissance des enfants, Fabiola n'était pas retournée au pays. Après son second veuvage, sa mère parlait de sa vie tranquille dans une maison que lui avait laissée son mari ainsi qu'une pension qui, disait-elle, lui suffisait amplement. Elle refusa toujours l'offre de sa fille de venir en France voir ses trois petit-enfants, prétextant ses mauvaises jambes et sa crainte des voyages. Elle envoyait des cadeaux à Noël, des ponchos tissés à la main, des bonnets brodés en laine d'alpaga, des plaids aux motifs traditionnels qui ravissaient la petite fille. Elle imaginait sa grand-mère comme une aïeule de conte féérique, entourée de lamas aux grands yeux mouillés et doux, sur fond de forêt exotique remplie de fleurs, de fruits et de perroquets multicolores. Maya s'était documentée sur les pays andins et leur faune. Le massacre des chinchillas sauvages l'avait indignée et elle se promettait bien de mettre sa gentille mamie dans le camp des malheureux chinchillas et des grands aras bleus.
La consternation et le chagrin remplacèrent brutalement ces espoirs idylliques. La famille du beau-père avait spolié la veuve de la presque totalité de son legs. Mais par fierté et ne voulant pas inquiéter sa fille, elle avait tu ses difficultés. En fait, elle vivait chichement de travaux d'aiguille à destination des touristes de passage quand la fièvre l'avait frappée. Isolée, sans argent suffisant pour se faire hospitaliser à la ville, elle n'avait plus que quelques jours à vivre.
Maya avait rêvé dès son plus jeune âge de rencontrer cette mamie de l'autre bout du monde. Un rêve brisé par des images d'agonie et de mort que sa mère tenta de lui épargner, mais elle-même était effondrée.
La vieille dame, transportée aussitôt en ville, mourut trois jours plus tard. Bixente ferma son atelier et partit dès qu'il le put pour épargner au moins à sa femme et à sa fille la désolation d'un retour toutes seules.
Traumatisée, Maya perdit pendant plusieurs mois une part de son entrain naturel et lorsqu'elle retrouva sa gaîté, elle avait décidé de devenir médecin là où il en manquait et de lutter contre les virus qui lui avaient enlevé sa grand-mère.
- La maturation -
Les étudesElle se passionna pour la biologie. Elle passa un bac scientifique à seize ans et monta à Bordeaux pour entrer en faculté de médecine, poursuivant parallèlement des études en biologie qui la conduisirent aux États-Unis ; elle n'abandonna pas pour autant la pratique de l'anglais, de l'allemand, de l'espagnol et y joignit le japonais, sous l'influence de son premier petit ami sérieux qui se trouvait être de Tokyo.
Elle s'épanouit dans le milieu universitaire américain, obtint diplômes et distinctions, multipliant les activités, toujours en quête de faire plus et mieux dans la voie choisie, mais appréciant aussi les distractions de la jeunesse. Elle eut encore deux ou trois aventures amoureuses, plaisirs et déceptions mêlées et puis elle rencontra Patrick Le Corre.
Le mariageElle venait de terminer sa médecine et se spécialisait dans la virologie tropicale quand Patrick, qui tenait une boulangerie française à Manhattan dans East Village, tomba amoureux de cette jolie cliente qui venait parfois acheter des croissants. Il était Breton d'origine, elle Basque. Ses croissants étaient bons et il est toujours agréable de sentir qu'on plaît à un beau garçon sympathique, avec des yeux bleus d'enfant et une carrure de déménageur.
Après avoir comparé les mérites du kouign amann à ceux du gâteau basque et discuté du temps qu'il faisait, ils passèrent à des confidences plus personnelles. Elle lui parla de ses études et des ses projets et lui des siens. En fait il était écrivain de vocation, et plus spécialement, critique littéraire, avait-il avoué, visiblement inquiet de la réaction possible d'une chercheuse de virus, et, -arrivé à ce point, il en avait même bégayé – il s'exerçait aussi aux arts plastiques. Il exposait et vendait par ci par là une toile ou un objet décoratif. Mais rien qui soit suivi et conséquent. Il mit une semaine de plus pour avouer qu'il avait publié un recueil de poèmes à compte d'auteur et qu'il n'en avait vendu aucun. Maya applaudit cependant. Un boulanger-poète ! Elle demanda à voir, trouva sincèrement que c'était rempli d'invention et de style, tout en sachant qu'elle pensait surtout au beau sourire de l'artiste. Un jour, il trouverait son public, elle en était certaine.
Elle voulut savoir comment il était devenu boulanger. De famille modeste, séparée, reconstituée et éloignée, il lui avait fallu rapidement trouver un emploi. Avec un bac L en poche il avait accepté avec joie la proposition inattendue de venir aider un oncle, depuis vingt ans boulanger à New York. L'oncle lui avait appris le métier, était rentré en France pour sa retraite, en lui laissant la gérance viagère de son commerce. Il était mort peu après et Patrick s'était donc retrouvé à trente ans boulanger propriétaire.
Il conclut en riant :" C'est ma manière de gagner mon pain !" Il le gagnait d'ailleurs assez correctement. La boulangerie aurait pu se développer davantage s'il s'y était investi totalement. Ses goûts d'artiste lui coûtaient cher en temps et en manque à gagner. Elle lui fit remarquer que, de son côté, la médecine humanitaire rapportait moins qu'un cabinet de spécialiste ou une chaire de virologie à Columbia. Chacun sa façon de préférer ses passions à la réussite financière. Leur accord parfait sur la façon de prendre la vie les remplit de joie.
Six mois plus tard, Maya était devenue la femme de Patrick, tout étonné d'avoir été choisi par ce brin de femme si vive d'intelligence, intègre de coeur, corps musclé et formes bien réparties, avec son langage familier, fleuri et franc et son activité incessante.
Les déplacements de Maya, en tant que médecin pour Médecin sans Frontières, ne dérangeaient pas Patrick, même s'il était souvent inquiet. D'abord, c'était entendu entre eux, le mariage ne devait s'opposer ni à la production artistique de l'un, ni à la vocation de médecin militant de l'autre.
Patrick disait, sous les encouragements de Fabiola par ailleurs très satisfaite du choix de sa fille dès qu'elle fit sa connaissance, qu'un jour, dans un pays lointain, Maya leur trouverait peut-être l'enfant qu'il ne pouvait pas lui donner... et qu'elle n'était pas pressée d'avoir ! Patrick était aussi très fier de pouvoir dire à ses amis américains que sa femme était en mission dans un dispensaire situé dans un pays dangereux et qu'elle ne se laissait pas faire par les militaires de l'endroit. Maya détestait leur air supérieur : « face aux civils, ils pètent plus haut que leur cul » disait souvent Maya. A part Anita Detmers, médecin militaire pour l'ONU, qu'elle rencontra en mission, suite à un massacre de villageois perpétré par des rebelles , et avec qui elle noua des liens d'amitié.
Rien d'étonnant dans la mesure où les deux femmes avaient le même caractère décidé et une expérience de jeunesse, très proche l'une de l'autre, expérience qui avait décidé de leur vocation. Toutes deux, à peine sorties de la petite enfance, avaient été confrontées à la mort d'un être cher, mort qui aurait pu être évitée si le malade avait été soigné convenablement. Ce souci de partage et de justice leur était commun.
- Rupture -
Le plus souvent, Maya était envoyée en Afrique et sa dernière mission l'avait conduite au dispensaire de Kagali, en Sierra Leone, où la fièvre de Lassa faisait des ravages.
Elle se trouvait plus précisément à Kagbelle, qui se trouvait non loin d'une plage fréquentée par les trafiquants en tout genre, quand elle vécut sans s'en rendre compte immédiatement, une expérience inouïe des plus imprévues et des plus fascinantes : Blue Hospel s'ouvrit pour entremêler plans d'existence et temps parallèles à ces vies rêvées qu'une part de nous-mêmes tissent dans le secret de nos nuits intérieures.
Un soir de pluie , Maya rencontra et soigna d'abord un touriste anglais excentrique fortement traumatisé, puis un blessé par balles qui semblait sortir d'un bal costumé ou d'un film historique, ceci alors qu'elle attendait son amie Anita en mission dans la même région.
Elle avait été très surprise de ces rencontres curieusement décalées, mais il y avait des gens qui souffraient et elle ne confondait pas l'insolite et l'inexplicable. Tout s'éclaircirait sitôt que les victimes pourraient parler. Tout était bien ancré dans la réalité. Elle n'était pas femme à voir des zombies ou des E.T partout.
Possessions : ce qu'on attend d'un médecin et d'une jeune femme attachée à sa famille : du matériel médical dans une sacoche : quelques photos dans son porte-feuille.
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