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Anita Detmers

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Anita Detmers Empty Anita Detmers

Message  Invité Sam 26 Jan - 18:17

    Prénom : Anita
    Nom : Detmers
    Surnom : Det'
    Âge : 32 ans

    Epoque et lieu de naissance : Upadek, le 11 mars 1981, à Amsterdam.

    Physique :
      Filiforme et, au premier abord, à l'aspect fragile, avec son mètre 80, Anita était en réalité d'une constitution solide, qui s'accommodait facilement au froid comme au chaud, apte à l'activité sportive soutenue voire extrême. Après tout, quoi de plus normal pour un médecin militaire. Véritable garçon manqué, elle s'accordait de temps en temps un peu de maquillage, mais vraiment un minimum.
      Parfois, il lui arrivait de faire un effort. Anita s'arrangeait un peu et se parait légèrement les yeux de noir. Tout dépendait si la raison d'une telle application valait la peine de passer plus de temps dans la salle de bain. Elles étaient peu nombreuses : les fêtes familiales, Karel ou tout ce qui pouvait l'y motiver sans s'y sentir forcée. La féminité s'arrêtait là, ne dépassait pas ce cadre fermé. Non pas que le naturel fût toujours préféré. Mais dans son métier, elle n'avait pas le temps aux maquillages, aux beaux vêtements et autres coquetteries. Elle était tout simplement peu féminine car la plupart du temps, rien ne le lui permettait.
      Ses cheveux châtains toujours attachés, des chaussures plates aux pieds, un bon vieux jean avec sweat-shirt et écharpe ou un col montant pour masquer une cicatrice dans le cou… c'était tout ce dont elle avait besoin. Et quand il s'agissait d'être un peu plus présentable pour un évènement n'entrant pas dans ses "raisons valables", Anita évitait tout simplement de s'y rendre. La seule tenue correcte dont elle disposait, était son uniforme de cérémonie.


    Caractère :
      Dans Le Prince, Machiavel disait : "De là naît une dispute : s’il vaut mieux être aimé que craint, ou l’inverse. La réponse est qu’il faudrait l’un et l’autre, mais comme il est difficile d’accorder les deux, il est bien plus sûr d’être craint qu’aimé, si l’on devait se passer de l’un d’eux."
      Anita était aimée et crainte. Elle savait aimer, se faire aimer et se faire craindre. Son amour n'était réservé qu'à quelques personnes. A une surtout : son fils. Elle faisait passer la crainte pour le reste.
      Anita n'était pas d'une méchanceté profonde, ni une hargneuse, encore moins une sadique, puisqu'elle savait aimer et ne cessait d'aimer ceux qu'elle voulait bien aimer. Mais elle savait aussi et surtout se faire obéir et redouter.
      Charismatique et à la verve fédératrice, Anita usait des mots plutôt que de la violence pour se voir vouer obéissance, respect et être suivie dans ses décisions. Elle maîtrisait et commandait sans avoir à frapper, crier ou sommer. Un simple regard persistant et appuyé, un ou deux mots convaincants et le tour était joué.
      On peut se demander en quoi un regard pesant pouvait faire naître la crainte chez celles et ceux qui subissaient ses petites influences verbales. Cela arrivait toujours après les mots et le regard, quand elle en venait aux sous-entendus sur des conséquences fâcheuses qui pouvaient arriver à quiconque nuirait à ses intentions. Selon elle, elle ne menaçait pas mais prévenait simplement. Anita se disait juste être une bonne négociatrice, qui savait quel mot utiliser pour arriver à ses fins. Négociatrice, elle l'était bien… persuasive surtout. Et très déterminée. Lorsqu'elle avait quelque chose en tête, il était difficile de lui faire face et d'imposer une volonté ou opinion différente. Le courageux qui osait faire un forcing était certain de l'énerver et de se heurter à un mur.


    Ordre choisi : Révolté.

    Métier exercé dans l'époque d'origine : médecin militaire rattaché à l'O.N.U. avant le grand voyage.


    Métier ou fonction après son premier voyage : Chef des révoltés et médecin à plein temps des Révoltés, organisatrice de la résistance et des actions militantes.


    Histoire :

    - Les jeunes années -

    Enfant unique et fille, petite-fille et arrière-petite-fille de militaire, Anita reçut une éducation stricte, dans une famille où un ordre amenait forcement à l'obéissance, où les mutations de Lars, son père, rythmait la vie du foyer et où son père calquait le fonctionnement de sa famille sur celui de l'armée. Il était commandant chef d'un escadron de parachutistes au service de la Reine Beatrix, alors il était commandant chef de l'escadron Detmers. Anita fut élevé entourée par l'armée. Son enfance s'était articulée autour d'un mot : obéissance. Le commandant y veillait.

    Avant ses 6 ans, la puissance de l'autorité paternelle ne se faisait pas encore sentir sur son éducation. Le commandant était peu à la maison. Son travail ne lui laissait guère le temps de jouer son rôle de père. Sa mère, sans emploi comme la majorité des femmes de militaire et surtout de gradés, avait pourvu seule ou quasiment seule à l'éducation d'Anita. Quasiment seule car monsieur avait tout de même sa vision de l'éducation, une éducation bien stricte, qui ne laissait aucune place à l'erreur et à la désobéissance, pouvant entraîner différentes sortes de punitions, même pour un enfant en bas âge. Une vision qu'il prenait soin d'imposer à sa femme. Heureusement, Anita était une enfant calme, sage. Obéissante. Les punitions tombaient très rarement et elles étaient toujours très douces. Sa mère avait du mal à sévir dans les réprimandes. Et puis, ce que papa Detmers ne voyait pas, papa Detmers ne savait pas. Alors il arrivait souvent à maman de rester muette sur les bêtises, pour finalement se contenter d'un "pas un mot à papa, ce sera notre petit secret".

    "Pas un mot à papa". Une phrase qui avait rythmé l'enfance d'Anita, jusqu'à ses 12 ans, au moment de quitter l'école primaire. Là, la chanson fut différente car son père fut muté à Curaçao, une île des Caraïbes sous le contrôle néerlandais. "Pas un mot à papa" s'était transformé en "vois ça avec ton père". Maman perdait le contrôle de sa petite fille, qui entrait de façon fracassante dans l'âge ingrat. Le temps de l'éducation par le père commençait. L'année de ses 12 ans fut donc l'année du changement. Nouvelle affectation, nouveaux amis, nouvelle routine, nouvelle école et nouvelle Anita qui savait dire "non". Sa mère n'en faisait plus ce qu'elle voulait. "Non" était son mot préféré. Les mots… elle commençait à en percevoir la puissance. A l'école, Anita n'était pas de ceux qui suivaient. Elle dirigeait. Elle était le commandant de la cour de récréation. Elle essayait même de tenir tête à son père, à se soulever contre l'autorité. Sans grand succès, puisque son père avait le dernier mot. Sa révolte adolescente n'avait d'effet qu'à l'école, sur ses camarades.
    En plus de découvrir l'insubordination, Anita découvrit la mort. Pour la première fois, elle connut le deuil en perdant son meilleur ami dans une épidémie de Choléra. Elle perdit un ami et gagna une vocation. Anita ne se voyait pas dans l'armée, comme papa l'espérait, l'y incitait voire l'ordonnait. Non. Anita voulait devenir médecin, pour soigner tous ceux qui ne l'étaient pas.

    A la fin des études secondaires, elle se lança dans la médecine. Elle y excellait. Si son père faisait un parfait militaire, elle était une brillante étudiante en médecine.

    - La maturation -

    Les études supérieures étaient libératoires pour Anita. Elle n'avait plus à suivre ses parents à chaque mutation. Elle n'endurait plus la vie en communauté des casernes militaires. Elle goûtait à l'indépendance. Ou à un semblant d'indépendance. Car si physiquement, elle était loin des dogmes militaires des Detmers, elle n'y restait pas moins rattachée. Si papa était loin de ses yeux, les siens étaient toujours sur sa fille. Toujours à veiller à ce que son unique enfant ne s'éloigne pas du chemin des Detmers. Le couple n'arrivait pas à donner de frère ou de sœur à Anita, alors le commandant se faisait encore plus présent dans la vie de sa fille, malgré la distance.

    Le chemin militaire. Tout au long de ses deux premières années de médecine, Anita fut littéralement harcelée par son père. "École militaire". Il n'avait que ces mots à la bouche. Anita ne voulait qu'une chose : être médecin pour aider les populations menacées. L'entêtement d'Anita face à la détermination de son père amenait régulièrement des disputes entre eux. Celui-ci la menaçait de lui couper les vivres. Celle-ci répliquait qu'il pouvait toujours le faire, qu'elle n'avait pas peur de se débrouiller seule. Puis maman Detmers entra en scène : "Médecin militaire, n'est-ce pas un bon compromis ? Tu fais plaisir à ton père, toi… son seul enfant qui réalise son rêve de voir les militaires perdurer chez les Detmers. Et en même temps, tu réalises ton rêve à toi". Sa mère aussi, savait user des mots pour convaincre. Peut-être avait-elle hérité cela d'elle ? Anita céda. Rallier les forces de l'O.N.U. était la solution idéale pour satisfaire son père et son vœu d'être de médecin.

    Finalement, elle ne regretta pas son choix. Peu de temps après avoir intégré l'école militaire, ses parents se tuaient dans un accident de leu Piper PA24. Une erreur humaine. Anita n'y croyait pas trop. Son père était un bon pilote. Elle le savait parfaitement, ce n'étaient pas les heures de vol qui lui manquaient. Mais même le meilleur n'était pas à l’abri d'une erreur de pilotage. Même le meilleur restait humain, faillible. Seulement, comment concevoir qu'un père, ayant interdit les erreurs, ait pu en faire une ? Anita ne l'envisageait pas. Elle se bornait à penser que son père n'avait commis aucune faute de pilotage et sans la moindre objectivité, elle ne cessait de se dire qu'il n'y était pour rien. Son baptême de l'air, elle l'avait fait avec lui. Tout comme son premier saut en parachute, saut imposé par Lars, qui avait conduit à une peur panique du vide chez Anita. Ce jour-là, il pilotait. Il lui avait dit :

    - Saute ou je t'y oblige à coup de manche pour te faire glisser hors de la carlingue.

    Elle l'avait maudit. Maintenant qu'il n'était plus là, elle aurait aimé sauter de nouveau, malgré sa peur du vide. Juste pour lui. Pour lui faire plaisir. Comme elle l'avait fait en intégrant l'école militaire.

    Ses parents étaient morts. Elle se retrouvait seule. Sans famille proche. Les déplacements avaient créé un éloignement avec ses oncles et tantes. Ses cousins et cousines. Elle devait apprendre à vivre sans eux. Elle ne pensait pas que le terrible joug paternel lui manquerait autant. Son absence lui permit de comprendre qu'il faisait cela pour son bien. Pour faire d'elle une personne intègre, droite, respectueuse, disciplinée. Bizarrement, l'éducation stricte qu'elle dénonçait à l'adolescence lui semblait soudainement bénéfique. L'autonomie vint rapidement. Mais la solitude pesait. Même la pression paternelle manquait terriblement à Anita.
    Tout ce qui lui restait à faire, c'était de poursuivre sa vie, d'honorer la mémoire de son père et faire perdurer le nom des Detmers dans le corps de l'armée néerlandaise.

    Elle obtint alors le grade de lieutenant et trois ans plus tard, elle réalisa la volonté père-fille en intégrant le contingent néerlandais de l'O.N.U. Elle y exerça sa vocation et y trouva quelqu'un avec qui partager les joies qui en découlaient, mais aussi les peines et les horreurs qu'elle pouvait voir. Elle rencontra Karel. Un collègue, un ami, un mari. Anita réalisa ainsi le rêve de sa mère. Un rêve inavoué : avoir des petits-enfants. A peine deux ans après leur mariage, Anita donna naissance à Damian. Il était toute sa vie. Il était l'unique raison qui, un jour peut-être, pouvait la résoudre à briser la volonté père-fille, la faisant ainsi quitter l'armée.

    Tout allait pour le mieux au sein du couple. Tout sauf la communication. Les horreurs qu'ils pouvaient voir dans leur métier commun monopolisaient les conversations du couple. Le travail entrait dans le cercle familial. L'intimité était envahie par les morts, les maladies, les conflits. Anita avait la force de tout supporter. Mais pas Karel. Un jour, l'ultimatum tomba. C'était lui ou l'armée. Anita était bornée. Une seule chose pouvait la contraindre de tout arrêter : Damian. Karel n'était pas Damian. Il quitta donc l'armée, sa femme et son fils. Il partit. Tout simplement. Sans plus de courage pour faire face à la situation. Anita ne fut que peu ébranlée par le divorce. Elle avait toujours sa volonté père-fille et son fils, alors âgé de 3 ans. C'était tout ce dont elle avait besoin. Seulement, être mère fraîchement divorcée et médecin militaire, ce n'était pas de tout repos. Elle avait besoin d'aide pour Damian. Une fille au pair fit l'affaire. Elle était un peu étrange, un brin goth. Mais elle était douce, attentionnée et prudente avec Damian. Entre eux, le courant passait merveilleusement bien. Cela suffit à Anita. La fille au pair faisait maintenant partie de la famille Detmers.

    La vie reprenait son cours, dans son appartement à Washington. Appartement qu'elle n'occupait que trop peu. Son travail l'appelant ailleurs. Damian et la fille au pair se chargeaient de faire vivre les lieux. Chaque fois qu'elle rentrait, Anita trouvait la chaleur d'un foyer. L'amour de son fils. L'amitié d'une fille au look décalé.


    - Rupture -


    Chaque fois qu'elle rentrait sur Washington, elle avait droit à son repos auprès de son fils, son exutoire. Sauf qu'un jour, elle découvrit un appartement vide. Alors qu'elle rentrait de mission et espérait profiter de Damian pour oublier les horreurs du monde, elle ne trouva rien d'autre qu'un bout de papier sur lequel étaient griffonné quelques mots, à la va-vite. "Je rentre chez moi, Madame. J'emmène Damian avec moi... Ne le cherchez pas, vous ne le retrouverez pas, j'en prendrais grand soin, il ne manquera de rien. C'est mon fils à présent." Anita sentit le monde s'écrouler, son sang ne faire qu'un tour, la colère monter en elle. Mais aussi la culpabilité pour avoir laissé son fils avec cette fille. On venait de lui arracher les tripes. De lui enlever son fils de 5 ans. Sa raison de vivre. Karel réapparut dans sa vie. A eux deux, grâce à leurs contacts, à son métier, Anita espérait retrouver rapidement Damian. Malheureusement, le "chez moi" de la fille au pair était bien caché.

    Anita quitta l'armée. Elle devait le retrouver. C'était tout ce qui comptait. Tant pis pour la volonté père-fille. Elle avait une vie mère-fils à restaurer. La chair de sa chair à récupérer. Sa raison de vivre à sauver. Elle chercha partout où il lui était donné de chercher. En vain. Elle désespérait. Était prête à tout pour le retrouver. Karel était effondré. Il n'avait pas supporté très longtemps l'horreur de leur métier. Anita ne s'étonna pas de le voir faiblir si rapidement face à la perte de leur enfant. Elle se concentra, seule, sur tout ce qu'elle connaissait de sa fille au pair. Les lieux qu'elle fréquentait. Les personnes qu'elle voyait. Anita avait même pour nouvelle habitude de prendre chaque matin son petit-déjeuner dans le pub préféré de la fille au pair. Savait-on jamais ! Peut-être qu'un jour, elle ferait l'erreur de se montrer.

    Un jour, alors qu'elle attendait son café et ses viennoiseries, elle entendit une bien étrange conversation, à la table qui se trouvait derrière elle. Deux individus parlaient d'enfants endoctrinés. D'enfants enlevés. Anita en sursauta et en oublia sa commande de petit-déjeuner. Elle écouta attentivement leur conversation. "Ils" devenaient plus forts de jour en jour. Qui était ce "ils" ? Puis un des deux hommes déclara que seul le Dévoreur pouvait apporter son aide. Le Dévoreur ? Anita trouva le nom bien étrange. Mais si cette personne pouvait retrouver les enfants enlevés, peut-être qu'il pouvait faire de même pour Damian. "Enlever et endoctriner les enfants". Anita se répétait sans cesse ces mots. Et si sa fille au pair enlevait et endoctrinait elle aussi les enfants, Anita se demanda comment elle avait pu être si aveugle. Et si pendant deux ans, la fille au pair avait endoctriné son fils ? Anita se leva donc, fit le tour du paravent séparant sa table de celle des deux hommes et elle leur fit face. Droite, le regard appuyé. L'air grave. Elle se pencha au-dessus d'eux, appuyant ses mains sur la table.

    - Je veux voir ce Dévoreur. Si vous savez comment le contacter, faites-lui savoir que je suis à cette table, chaque matin, déclara-t-elle en montrant la table de l'autre côté du paravent. Je l'y attendrai, lui et ses services. J'ignore qui vous êtes, mais je peux facilement le savoir. Donc si vous ne faites pas passer le message, je peux toujours vous retrouver pour réitérer ma requête autant de fois qu'il en sera nécessaire.

    Sans dire un mot, Anita laissa les deux hommes, s'assit à sa table et prit le petit-déjeuner qui lui était servi. Chaque matin, elle attendait maintenant deux personnes : sa fille au pair et le Dévoreur.

    Possessions : Un sac militaire, contenant un carnet d'adresse, un téléphone portable avec appareil photo intégré, un couteau à cran, des vêtements de rechange, une trousse de premiers soins, quelques barres énergisantes et une bouteille d'eau.

    Permissions : Autorisez-vous la pnjisation de votre personnage par vos partenaires ?
    • Aucune : "je suis absolument et définitivement allergique à toute pnjisation"


    Autorisez-vous les autres joueurs à influer sur le jeu de votre personnage via la zone RP Blue Hospel, c'est à dire à vous atteindre par le monde des rêves ? Non

    Disponibilités in RP (cadence de jeu): Une fois par semaine.

    Espace personnel : Insérez ici le lien à votre espace personnel ( il n'est visible que des membres connectés)

    Décharge responsabilité : Joueurs majeurs: "Moi, joueur du compte personnage Anita Detmers, déclare avoir pris connaissance que ce forum comporte une sous section interdite et cachée aux - 18 ans. Je prendrai soin de protéger la sensibilité des plus jeunes en usant des espaces consacrés si mes récits contiennent des propos violents, choquants ou à caractères érotiques. Toute infraction délibérée sera sanctionnée par la suppression de mon compte. Je prends connaissance de ces conditions en m'inscrivant et les accepte. L'administration du forum ne saurait en être tenue pour responsable."

    Crédits avatar : annamazur sur deviantart
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Message  Le Dévoreur de temps Lun 28 Jan - 19:29

Bonsoir Anita !!

Bienvenue parmi nous, enfin au personnage, la joueuse étant déjà un des piliers actifs de notre univers. J'en connais un que ton arrivée va combler d'aise et faire caracoler.

Le personnage d'Anita est bien cerné et tu lui apportes ta touche personnelle. Enfin,c'est mon avis. La seule réserve que j'émets étant l'aspect fragile. Enfin, je pense qu'il faut le prendre comme une volonté de souligner qu'elle est forte de caractère malgré une constitution menue et féminine. Le visage, est, il est vrai, très doux et expressif tout en dégageant une volonté assez marquée. Le regard ayant, parait-il marqué un certain révolté à tignasse. Enfin, il faut se méfier des bruits de couloirs surtout sur Autres Vies.

Le fond convient à merveille et rend bien et le caractère entier puis écorché par la vie, de l'héroïne, et son histoire jalonnée d'épreuves auxquelles elle fait face le menton relevé et l'oeil alerte. La citation de Machiavel pose d'entrée l'état d'esprit de la jeune femme (j'en connais un qui va en baver mais je n'en dirai pas plus craignant un coup de sabre ^^)

Quoiqu'il en soit tu as développé son côté négociateur et manipulateur, ce qui sera utile dans son rôle d'égérie des Révoltés. Attention toute fois à ne pas généraliser ce trait de caractère à la sphère privée, à moins que par manipulatrice tu entendes mobilisatrice de foule et de soldats à son entière dévotion (j'allais dire de testostérone hongroise mais le sachant soupe au lait, je m'abstiendrai ...)

Sur la forme à présent. Petite redondance du côté du garçon manqué. Trouver peut-être une expression synonyme . Quelques fautes se sont glissées peut-être même des coquilles ou erreurs de frappe. Des choses très facilement corrigeables.

En quelques mots comme en cent, Anita a enfin trouvée sa plume mais comme les Guides sont multiples, je cède la parole à mon cher Alceste dont les suggestions pertinentes (et impertinentes, ne pas se fier à son jabot de coq) viendront avantageusement compléter mes observations et se verront assorties d'une relecture scannée de l'orthographe et des tournures.

Je te ferai grâce de la présentation à l'Atrium puisque tu te caches déjà sous d'autres costumes mais je te réitère mon message de bienvenue.
La plume : Genèse et Philosophie des lieux.
Empreinte : L'histoire de Vladimir Stanzas ou comment on devient le Dévoreur de Temps
Espace personnel : D'une porte cochère à l'autre {en construction}
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Message  Invité Lun 28 Jan - 19:58

Le personnage d'Anita est bien cerné et tu lui apportes ta touche personnelle. Enfin,c'est mon avis. La seule réserve que j'émets étant l'aspect fragile. Enfin, je pense qu'il faut le prendre comme une volonté de souligner qu'elle est forte de caractère malgré une constitution menue et féminine. Le visage, est, il est vrai, très doux et expressif tout en dégageant une volonté assez marquée. Le regard ayant, parait-il marqué un certain révolté à tignasse. Enfin, il faut se méfier des bruits de couloirs surtout sur Autres Vies.

Pour l'aspect, il m'a été difficile de lui donner une constitution forte alors que je trouve l'avatar plutôt doux. Comme elle est dans l'armée, je me suis demandé s'il ne fallait pas contraster sa forte volonté et personnalité avec un aspect fragile. Et par fragile, j'entendais par là le fait qu'en la regardant, on pourrait croire qu'elle pourrait se briser au moindre coup. Alors que c'est tout le contraire, que sa constitution est solide. J'ai préféré le mot fragile pour souligner le fait qu'il ne faut pas se fier aux apparences. Un "aspect délicat" aurait peut-être plus de sens, non ?
(Des bruits de couloirs ? Peut-on en savoir plus sur cette rumeur de regard ayant marqué un autre révolté ?)

Pour ce qui est de son côté manipulatrice, oui, c'est bien dans un sens fédérateur que je le vois. Ce ne sera pas généralisé dans la sphère privée, elle saura se laisser aller et mettre de côté sa volonté de chef ^^.
(mobiliser de la testo ? ha mais faut vraiment que j'en sache plus sur ce bruit de couloir ! cela m'intrigue !)


Pour la redondance "garçon manqué", il y en a juste un en trop (phrases modifiées au dernier moment et... mal modifiées, je supprime la deuxième mention, qui est de trop). Ha oui je vois aussi des p'tites coquilles ! Comme toujours, je ne les vois qu'après m'être détachée totalement du post. Je corrigerai ça rapidement.

Merci pour l'accueil (pour la troisième fois XD). Je vais collectionner les masques ^^

J'attends juste les commentaires de notre deuxième guide avant de faire les corrections (coquilles et répétitions). Afin que Alceste puisse voir le post d'origine ^^
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Message  Invité Mar 29 Jan - 21:12

Alceste a lu la fiche d'Anita sitôt parue. C'est son rôle et il l'a rempli avec plaisir, car cette fiche est aisée de lecture et alertement menée.
J'ai cependant quelques remarques concernant d'abord la partie consacrée au physique et caractère.

Il me semble qu'il faut dans le cas où on adopte un personnage prédéfini, compléter sa fiche en fonction de pourquoi il a été créé. Anita a deux rôles prédéfinis : elle est le chef des Révoltés et a une liaison avec Ludwik Cseszneky.
Qu'elle soit "filiforme" "garçon manqué", "peu féminine", peut très bien convenir à un chef de faction. Mais moins à mon avis à l'égérie d'un personnage romantique marqué par le souvenir de sa mère, incarnation de la plus tendre féminité. Ses nombreuses conquêtes amoureuses sont, souvent pour le plaisir des sens plus que celui du coeur, des femmes du monde, roucoulantes et séductrices, attirées par le bel officier désabusé à l'allure de héros stendhalien. J'avoue avoir été un peu déconcerté par cette version de l'égérie du hussard. Tu promets, Anita, qu'elle se "laissera aller" dans le privé, ce qui me rassure un peu, bien que l'expression manque d'élan.

Tu expliques aussi " il m'a été difficile de lui donner une constitution forte (humm...entre filiforme et forte, il y a un monde de nuances charmantes) alors que je trouve l'avatar plutôt doux." Mais la douceur d'un regard ne se situe pas forcément à moins d'un mètre soixante. On peut imaginer Anita, dont le visage arrondi n'a rien de filiforme, en train de penser à son fils, et même si elle mesurait 1m78, elle aurait ce regard de rêve triste. Tu lui prêtes d'ailleurs aussi bien «un regard pesant » et ce, sans signaler que sa taille augmente ( ce trait d'humour forcé est pour ne pas décevoir le Dévoreur qui me prend pour un impertinent) Je crois bien en outre que le modèle de ce portrait a des yeux très savamment maquillés. J'espère que c'est pour la bonne cause qu'elle a renoncé à ses sévères principes.

Je trouve aussi que tes deux personnages sur Autres Vies se ressemblent beaucoup.
Christiana : «petites jambes» «hanches plates» «fluette ». elle n'a que sa poitrine «comme petit rappel à sa féminité». Toutes deux sont qualifiées d'austère. Christiana a un regard «droit..sévère et autoritaire», Anita, un regard «persistant et appuyé». Toutes deux ne cherchent pas à mettre leur féminité en valeur. Toutes deux sont déterminées par l'image écrasante d'un père brutal et néanmoins aimé. L'une se fait tirer par les cheveux, l'autre poussée dans le vide et toutes deux orientent leur vie selon le désir de ce père tyrannique.
En fait, une seule similitude entre elles était rendue obligatoire par la fiche prédéfinie d'Anita, similitude certes importante. Ces deux femmes sont des chefs, s'imposant à des hommes. Il aurait été préférable à mon avis que tu cherches à différencier tes deux personnages dans tous les détails laissés libres à ton imagination.(physique et caractère), ce que tu as très bien réussi pour la partie biographique.

Je noterai aussi une contradiction dans cette analyse : « quand elle en venait aux sous-entendus sur des conséquences fâcheuses qui pouvaient arriver à quiconque nuirait à ses intentions. Elle ne menaçait pas,....
Mais si ! Elle menace. Et de la pire manière : par des sous-entendus, terrorisme moral encore plus angoissant que la menace ouverte et claire. De même le mot «manipulatrice» ne me paraît pas aller avec « droite et intègre» qui la qualifie ensuite, même si tu vois cette manipulation seulement dans la sphère publique. Loyale à ses choix peut-être, mais l'image véhiculée par «manipulatrice» est celle d' une certaine duplicité et de l'art de tromper son monde. On n'abandonne pas de telles aptitudes simplement parce qu'on rentre chez soi.

Pour l'histoire, tout s'enchaîne bien, conformément à la fiche de base, grâce à tes transitions bien conduites.
Un point sur lequel j'aimerais plus de détails :
Les parents d'Anita se tuent en avion. Anita doute que ce soit un accident. L'argument avancé (le père a de nombreuses heures de vol et est un excellent pilote) n'est pas crédible. Les meilleurs pilotes comme les meilleurs marins, les alpinistes les plus chevronnés, peuvent avoir un accident. Il faudrait un autre motif à ce doute, dont tu ne parles plus ensuite. Si tu amorces ici un fil d'intrigue qui conduirait à un futur RP, il faudrait montrer en quoi ce doute demeure en Anita et sur quoi il se fonde.

En ce qui concerne la qualité de l'expression, il y a peu de fautes caractérisées et comme je l'ai dit, la fiche se lit facilement. L'expression est claire et directe. Il n'y a ni lourdeurs maladroites ni complications inutiles. Une petite relecture devrait suffire.

En conclusion mes réserves viennent surtout du fait que ce personnage fut à l'origine, un prédéfini, donc soumis à des contraintes contextuelles qui justement doivent le définir partiellement. Je ne pense pas qu'il soit nécessaire pour Anita de reprendre ou de justifier tous les points que j'ai abordés. Ce ne sont pas des objections, juste des différences de points de vue. A elle d'en tenir compte ou non dans l'exercice du RP.
Les critères d'écriture du forum sont respectés malgré les petits dérapages qui nous guettent tous. Le Dévoreur a essayé de me transformer en scanneur-correcteur d'orthographe mais je l'ai vu venir. Anita se relira seule. Ceci dit, je ne refuse jamais une aide à personne.
Le personnage tient debout. Je suivrai donc l'avis du Dévoreur et considère cette fiche comme tout à fait recevable. A toi, Anita, de conduire ton personnage avec aisance et comme tu le vois, dans les couloirs du Temps. Autres Vies est un territoire de liberté.








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Message  Invité Mer 30 Jan - 19:14

Ho le bel avis que je vois là ! Merci Alceste d'avoir tant décortiqué Anita (comme une crevette ! XD).

Pour mieux expliciter l'attitude d'Anita dans la sphère privée, je crois que je vais réfléchir à l'ajout d'un petit paragraphe dans la bio afin de montrer qu'elle en est capable. Pour illustrer le fait que, malgré son éducation militaire, son style peu féminin et tout simplement son métier, elle sait "se laisser aller".

Ho l'oubli ! Je n'ai pas donné de taille à Anita ! Sachez que je l'imagine grande ^^ (à 3cm près, ton 1m78 était juste ! ^^).

Oui, son visage est arrondi, mais son corps n'en reste pas moins filiforme, tout en hauteur et en minceur (je n'arrive pas à la voir autrement). Je ne sais pas pourquoi, mais quand j'ai rédigé la fiche, en regardant l'avatar, je la voyais plutôt plate comme une limande et tout en hauteur.

Pour les yeux savamment maquillés du modèle de ce portrait, je trouve le maquillage très léger (et je dis ça sans la moindre objectivité, c'est mon avis purement féminin XD). Pas de trace de crayon noir, à peine un peu de liner et de mascara… Hmmm, cela peut me servir de base pour le "laisser aller" que je compte développer.

Maintenant que tu en parles et les mets en lumière, je remarque les trop nombreuses similitudes entre Christiana et Anita. Puisque tu me dis que la distinction dans la biographie est réussie, je vais réfléchir et essayer de changer cela dans physique et caractère.

Pour ta remarque concernant les sous-entendus, les menaces et la manipulation, je vais revoir ça. Là, tout de suite (*regarde l'heure et sa pile de cours), je n'ai pas encore d'idée à t'exposer, pouvant remédier à la contradiction et au mot "manipulatrice".

Le crash. Pour ce point, je vois les arguments avancés par Anita comme étant loin d'être impartial (pour elle son père ne peut faire d'erreur, elle a eu une éducation qui ne laisse pas place à l'erreur…). J'aurai dû le développer l'idée qu'Anita ne peut pas concevoir que son père puisse être à l'origine de l'accident. Elle se borne à l'idée que son père ne peut commettre une erreur et se cherche donc des arguments (ceux que tu as cité). Anita se dit "il n'y est pour rien" et c'est ainsi une aide pour elle de mieux aborder le deuil.
Mon objectif n'est pas d'amorcer un fil d'intrigue pour un futur rp (du moins pas au moment d'écrire la fiche et d'écrire ce post). Néanmoins, sait-on jamais ! Je peux changer d'avis et finalement utiliser cette voie. Alors je vais voir pour davantage développer ce point.

J'apporte les petites modifications annoncées dès que possible et vous préviens quand elles seront faites.




Édit : j'ai apporté quelques petites modifications en tenant au mieux de vos remarques. Je ne penses pas avoir oublié quoi que ce soit... M'enfin c'est vous qui saurez me le dire ^^ Je suis passée sur les coquilles mais il doit forcement en rester. S'il en reste, je les chercherai encore.
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Message  Invité Jeu 31 Jan - 2:21


Les passages que tu as modifiés me paraissent beaucoup plus clairs et cohérents. Je ne voudrais pas que tu passes trop de temps à chercher des fautes dans un texte qui n'en comporte pas tellement, d'autant que tu as déjà relu et qu'on finit souvent par ne plus voir ses fautes à force de revoir le même texte. Je vais donc te proposer quelques remarques, ne serait-ce que pour justifier mon allocation spécial-jabot que m'octroie le Dévoreur
Surveille ta boîte à lettres.
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Message  Invité Ven 1 Fév - 9:17

Voilà, suite à vos bons conseils posts et aux mps d'Alceste, j'ai apporté toutes les modifications et corrections sur la fiche d'Anita.
Souhaitez-vous de nouveaux changements ? Vos yeux avertis ont-ils vu autre chose entre temps ?
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Message  Le Dévoreur de temps Sam 2 Fév - 16:05

Pour ma part tout est en ordre et je prévalide ta fiche. Merci Alceste pour tes lumières. Je n'avais pas relevé la proximité de caractère entre Anita et Christiana. Un peu la tête dans le ... Et effectivement, ce sera plus intéressant pour la joueuse d'avoir deux personnages au caractère bien différencié.

Je t'invite à copier ta fiche dans la partie Citoyens en chemin et je basculerai celle ci dans Au fil du temps. Le dévoreur va venir à ta rencontre.


Bienvenue parmi nous et bon jeu !
La plume : Genèse et Philosophie des lieux.
Empreinte : L'histoire de Vladimir Stanzas ou comment on devient le Dévoreur de Temps
Espace personnel : D'une porte cochère à l'autre {en construction}
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Message  Invité Sam 2 Fév - 16:26

Le Dévoreur est passé. Tout est en ordre. Le chemin est ouvert vers le nouveau destin d'Anita Detmers.
Zorvan astique déjà les portes de son Antichambre et vérifie le bon fonctionnement de sa sidérale sonnette car il ne doute pas de ta détermination à suivre le grand Voyageur.
Bienvenue dans le jeu.
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Message  Ludwik Cseszneky Sam 2 Fév - 16:36

Oh ! Mais chouette alors ! Bienvenue à toi donc ... si j'ai tout bien compris, c'est un DC de Christiana ? Quel courage ! Pour moi le DC est peu envisageable pour l'heure mais je me réjouis d'avoir enfin un chef ! Je désespérais un peu. Alors tu es tombé sous le charme d'Anita dans la Galerie des Illusions ? Il faut que j'aille y répondre sur l'heure, et avancer mon rp de validation. *Est en retard en retard (comme le lapin d'Alice)*

A moi les grands espaces et les combats à mener, à moi le souffle épique des grandes chevauchées. Comment ça il n'y a pas de charge de hussards en XXIième siècle ? Plus de chevaux à la guerre ? Mais où va le monde, je vous le demande ... Pas grave je chevaucherai une Harley Davidson et nous n'aurons peur de personne.


Bienvenue à notre chef vénéré.

PS: Dévoreur, Alceste... Je ne vois absolument pas à quoi vous faites allusion au sujet d'un hussard hongrois ... Et d'ailleurs, je dois m'expliquer avec un roumain scientifique et curieux.

* sort très vite le sabre au clair*
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Message  Invité Dim 3 Fév - 11:09

Voilà qui est fait, la fiche a été déplacée Ô Grand Manitou ^^

Tu as parfaitement compris Ludwik, Anita est un DC de Christiana. Et oui ! Je suis tombée sous le charme d'Anita dans l'event. L'occasion de la tester dans la Galerie des Illusions était trop grande et je me devais de la saisir !

Au plaisir de croiser le rp avec toi (et non le sabre), tout en fendant l'air en Harley XD.
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