Prénom : Suzanne
Nom : du Casse
Surnom : Su'
Âge : 22 ans
Époque et lieu de naissance : 21 janvier 1771 à Paris.
Physique : Cheveux mi-long auburn, yeux marrons. Sourcils souvent froncés. Mesure 1m70. Taille plutôt fine. Poitrine normal. Habillée d'une tenue d'assassin rouge et noire. Garde la plupart du temps une capuche pour camoufler son visage. Protection en cuir sur les épaules, les bras et la poitrine. Attache en cuir partant de l'épaule gauche et allant jusqu'au bassin sur le côté droit, sur laquelle sont accroché deux pistolets. Deux lames secrète au niveau des poignets cachées par les manches de sa tenue. Ceinture en cuir sur laquelle sont accrochés, deux épées, deux autres pistolets, trois bourses et une sacoche. Bas en tissu blanc complétant la tenue. Bottes en cuir, dans l'une d'elle est cachée une dague.
Caractère : Agile depuis son enfance et courageuse au point de gravir la cathédrale de Notre Dame à mains nues. Les mimiques de l'assassin sont innées chez elle. Elle est discrète, capable de se cacher dans un tas de foin avant de se faire repérer par ses cibles. Très méfiante, elle ne fait confiance à personne, encore moins aux inconnus qui surgissent sans crier gare. Habituée à courir longtemps pour échapper aux conflits, elle est très endurante. Elle se montre souvent froide et semble cacher de nombreuse choses même à ses proches. Elle est aussi très téméraire et n'hésite pas a user de la ruse pour parvenir à ses fins. Elle est d'ailleurs mauvaise perdante, si elle veut quelque chose, elle fera tout pour l'obtenir. Elle suit le credo des assassins et n'admet pas les actes des templiers. Son plus grand point faible est le vertige si elle ne reste pas concentrer sur ce qu'elle est en train de faire. Elle a également un peur bleue des insectes et autres arachnides.
Ordre : Révolté.
Métier : Assassin.
Métier après son premier voyage : Assassin.
Histoire
- Les jeunes années -
Dès sa naissance, Suzanne n'a pas été aimée par son père. Il ne voulait pas d'une fille. Il voulait que sa progéniture soit un homme, un vrai. Un soldat capable de défendre ses idéaux, les idéaux des templiers. Cet homme, avide de pouvoir, ne voulait pas laisser son nom être souillé par une fille aussi fragile. Aussi imposa-t-il à sa femme d'abandonner l'enfant. Mais celle-ci s'y refusa catégoriquement. Ce fut sous le coup de la menace de mort qu'elle se décida à obéir. Elle sortit avec l'enfant drapé dans un chiffon une nuit d'hiver. Les rues de Paris étaient recouvertes de neige et des hommes qui semblaient ne plus être sobres se pavanaient en chantant des chansons paillardes. La jeune femme se rendit dans une rue peu fréquentée. Elle déposa l'enfant sur le seuil d'une porte, ainsi qu'une lettre. Elle frappa ensuite à la vieille porte en bois qui craqua d'usure sous les coups. La personne qui vint ouvrir n’eut pas le temps de voir qui avait frappé, la femme s'étant déjà évaporée dans la nuit. L'homme qui venait d'apparaître sur le seuil entendit un bruit, des pleurs qui venaient d'un peu plus bas. Il baissa le regard sur l'enfant solitaire. Il le prit aussitôt dans ses bras pour le protéger du froid hivernal. La lettre tomba du chiffon. Il la ramassa et lu l'écriture au dos : « Cet enfant s'appelle Suzanne du Casse, je vous en prie occupez-vous d'elle. Signé : Une mère désespérée. » L'homme fut touché par ces mots. Les mots semblaient tremblants et il pouvait très bien s'imaginer la jeune femme lui dire cela de vive voix. Il posa son regard sur l'enfant. Elle s'était rendormie et semblait si fragile. Il jeta un dernier regard dans la rue puis rentra chez lui en prenant soin de ne pas réveiller l'enfant.
L'homme s'occupa de l'enfant comme de sa propre fille. Lui qui n'avait pas pu donner la vie, il était le plus heureux des hommes. Cependant, il fut humble envers l'enfant, et ce dès qu'elle fut en âge de comprendre. Il lui avoua qu'il n'était pas son père mais qu'il était encore trop tôt pour qu'elle apprenne toute la vérité. En effet, l'homme faisait partit d'un groupe de personne qui se faisait appeler les assassins. C'était des hommes et des femmes qui refusaient de se plier aux idéaux des templiers, leurs pires ennemis. En faisant des recherches approfondies, l'homme , du nom de Viktor, avait appris que le père de la jeune enfant, ce fameux du Casse, était un templier narcissique et cruel. En revanche, il ne trouva rien sur son épouse. Bien décider à venger cette courageuse femme, il commença à enseigner à Suzanne le credo que suivaient les assassins.
Son entraînement débuta alors qu'elle avait à peine 12 ans. C'était une assassin du nom de Lily qui lui enseignait l'art du combat, de la discrétion et de la course. Car un assassin se doit d'être fort, agile, discret et endurant. Un jour, Suzanne se retrouva avec un pistolet dans les mains et au loin, une cible qui lui faisait face. Lily vint derrière la jeune fille et l'aida à viser.
- Tu vois ? Il faut bien tendre les bras. Cale – toi bien sur le sol… Voilà. Maintenant fixe la cible et tire quand tu es prête.Suzanne avait les mains tremblante. L'arme qu'elle tenait lui faisait un peu peur mais elle garda son sang froid. Elle regarda un instant Viktor qui la surveillait un peu plus loin, il lui sourit. Après lui avoir rendu son sourire, la jeune fille se concentra de nouveau sur la cible. Après quelques secondes d'inspiration, elle appuya sur la gâchette du pistolet. Lorsque la balle fut tiré, la force du recul de l'arme fit tomber Suzanne au sol. Un peu perdue sur le coup, elle regarda autour d'elle si elle n'avait blessé personne. Viktor riait de bon cœur. La jeune fille fit une grimace mécontente, il se moquait de sa chute.
- En plein dans le mille, cria Lily depuis la cible,
tu as la visée, il ne te reste plus qu'à garder l'équilibre.Et elle aussi se mit à rire. Suzanne ne put s'empêcher de les accompagner dans leur amusement. Elle se releva et alla voir Viktor, le sourire aux lèvres.
- Alors ? J'étais comment ?- Parfaite ! Mais il va te falloir encore de l'entraînement.Il lui fit un clin d’œil. La jeune fille rougit légèrement. Elle baissa le regard sur le pistolet qu'elle tenait encore, elle en serra fort la poignée et releva le regard sur Viktor.
- Je ferais de mon mieux. Promis !- La maturation -
Suzanne apprit à devenir une assassin petit à petit. Mais elle ne pouvait en devenir un véritable qu'à sa majorité. C'était une jeune fille joyeuse, toujours souriante. Elle rendait leur sourire aux assassins qui venaient annoncer une mauvaise nouvelle à Viktor. Cet homme lui avait tout enseigné. Elle s'était fait ses propres idées des templiers, mais le plus important était qu'elle savait que les assassins se battaient pour défendre leur cause. Une cause libre. Le credo du « tout est permis ». Suzanne enviait les assassins. Alors qu'elle n'avait que 16 ans elle voulait se battre à leur côté. Défendre la paix et raser les templier de cette terre. Son ambition ne fut qu'endurcie le jour où elle apprit la vérité, toute la vérité.
Viktor lui avait demandé de le rejoindre au cimetière non loin de la cathédrale. La jeune fille ne savait pas à quoi s'attendre, mais la simple idée de savoir qu'ils seraient dans un cimetière lui faisait peur. Qu'est ce que Viktor voulait lui montrer, au juste ? Le printemps venait à peine d'arriver sur Paris, les arbres en fleurs rendait l'atmosphère un peu moins glauque. Suzanne prit son courage à deux mains et entra dans le cimetière. Il ne lui fallut pas bien longtemps pour retrouver Viktor. Elle le rejoignit d'un pas lent et mal assuré. L'homme se tenait devant une tombe et l'observait, une émotion indescriptible sur son visage. Il tenait une lettre dans la main.
- Viktor ? demanda la jeune fille.
Pourquoi m'avoir fait venir ici ? Que dois-je apprendre de plus ?La seule réponse qu'elle obtint, ce fut un signe de tête vers la tombe. Elle la regarda alors de plus près. Elle écarquilla les yeux, ses jambes la lâchèrent et elle se retrouva à genoux, les mains sur le cœur. Elle ne put empêcher des larmes de couler le long de ses joues. Sur la pierre tombale était gravé son nom, précédé du prénom « Marie ». La date indiquée la mort en 1772. Seulement un an après la naissance de Suzanne.
- Viktor, fit-elle d'une voix tremblante,
serait-ce…L'homme acquiesça.
- Oui, Suzanne. Cette femme, cette Marie… était ta mère.Suzanne serra les dents. Pourquoi sa mère était-elle morte avant même de l'avoir connue ? Elle s'essuya maladroitement les yeux et se releva.
- Qu-qui a fait ça ? Un templier ? Parce qu'elle m'a emmenée chez les assassins c'est ça ?- Calme – toi Suzanne. Je pense qu'il est temps pour toi d'apprendre la vérité.Viktor tandis la lettre à la jeune fille.
- C'est ta mère qui l'a rédigée. Elle est pour toi.Suzanne prit la lettre. Ses mains tremblaient légèrement. Elle ouvrit délicatement le papier vieilli et se mit à lire.
« Ma très chère Suzanne,
Je pense que je ne serais malheureusement plus de ce monde lorsque tu auras l'âge de lire cette lettre. Je suis désolé mon enfant. Je n'ai put être une bonne mère. Je t'ai emmenée aux assassins car j'en était une autrefois. Je pouvais leur faire confiance. Mais, ton père est un templier ma chérie. Et s'il apprend ce que j'ai fait, il me fera tuer. S'il te plaît Suzanne, fais ton possible pour rester le plus loin possible de cet homme. Du Casse est cruelle. S'il te voit encore en vie il… Non, je ne veux même pas imaginer cela. J'espère que tout va bien pour toi ma chérie. Viktor est un ami de confiance. Si tu as la moindre question tu peux t'adresser à lui.
Suzanne, je pense que tu as aujourd'hui le vœux de devenir une assassin. Je ne te demanderais pas de risquer ta vie pour venger ma mort. La dernière fois que je t'ai vu, tu était un petit bébé fragile. Maintenant tu dois avoir bien grandit. Mais je ne veux pas qu'il t'arrive malheur. Prend soin de toi. Je t'aime ma chérie.
Marie du Casse. »Suzanne ferma les yeux.
- Maman…Elle était partagée entre tristesse et haine. La première chose qui lui vint à l'esprit, ce fut la mort de du Casse. Mais il ne fallait pas qu'elle risque sa vie pour le tuer. Sa mère ne voulait pas cela. Elle leva la tête vers Viktor.
- Je veux être une assassin Viktor. Je refuse de laisser les templiers continuer à commettre leurs horribles actes.Deux ans plus tard, en 1789, ayant atteins ses 18 ans, Suzanne devint une assassin à part entière.
- Rupture -
Quelques années passèrent. La révolution française s'accentua. La décapitation du roi Louis XVI fut décidé pour le 21 janvier 1793. Le jour des 22 ans de Suzanne. Elle était présente au milieu de l'assemblée ce jour-là. Mais rien ne l'avait poussée à venir. Elle était là tout simplement. Il n'y avait aucune explication à sa présence. Pendant ces trois dernières années, elle avait tué un bon nombre de templiers, pourtant, le monde ne semblait pas s'en être vidé pour autant. Les assassins se battaient tout les jours. Mais quand un templiers meurt, un autre naît ailleurs. Suzanne ne trouvait aucun intérêt à ce que le roi se fasse décapiter. Cela entraînerait d'autant plus de conflit selon elle. Elle rentra au bureau des assassins. Viktor était absent, partit en mission pour un assassinat. Suzanne aurait voulu y participer mais elle l'appris trop tard. L'assassin était déjà parti depuis longtemps. Elle alla s'asseoir sur un tonneau près du bureau de dépôt des armes.
Une assassin arriva en courant, horrifié.
- Suzanne ! C-c'est horrible !La jeune femme sauta de son tonneau et alla voir la nouvelle venue.
- Que se passe-t-il Lily ?- C'est Viktor il… il a été tué !Suzanne eu un haut-le-cœur. Elle serra les dents.
- Par qui ? grinça-t-elle.
- Un templier. Un certain du Casse.- Je vais le tuer !- Suzanne attend !Mais c'était déjà trop tard. La jeune femme était monté sur les toits et se rendait à l'endroit où la mission de Viktor devait avoir lieu. C'était la haine qui la guidait. Elle courait à vive allure. Faisant sans doute s'envoler les tuiles sous ses pieds mais elle s'en fichait bien. Ce qu'elle voulait, c'était assassiner le templier qui avait osé tuer celui qui s'était occupé d'elle pendant ces vingt-deux dernières années.
Elle arriva au point de rendez-vous. Du haut de son toit, elle put voir ce chien de templier. Elle descendit du toit, empoigna ses deux épées et s'approcha de l'homme.
- DU CASSE !!!L'homme sursauta, il dévisagea la jeune femme, un sourire narquois apparut sur son visage.
- Tiens donc, à qui ais-je l'honneur ? dit-t-il.
- Tu ne me reconnais pas du Casse ? ragea Suzanne.
Vingt-deux ans que tu me connais et tu ne sais pas qui je suis ?Du Casse eut un léger tic de surprise.
- Je savais bien que tu me disais quelque chose. Je savais qu'un jour nous nous retrouverions face à face avec une lame entre nous. Mais j'avoue que j'imaginais l'inverse.Suzanne grinça des dents.
- Sale chien de templier ! Tu as tué Viktor ! Tu ne mérites que la mort. Tout les chiens de ton espèce méritent la mort !Elle se jeta sur lui, sa rage parlant presque à sa place. Mais du Casse ne se laissa pas faire sans répliquer, il prit aussitôt son épée et para Suzanne juste à temps.
- Tu penses vraiment être assez forte pour te battre contre moi ? Ton ami ne l'a pas été lui.- Ferme – la !La jeune femme tenta une avalanche de coups d'épée que du Casse arrivait malheureusement à parer. Mais elle n'abandonna pas. Alors qu'il allait enfin donner un coup. Elle l'évita avec une roulade sur le côté et profita du moment d’inattention de l'homme pour asséner un coup dans son dos. Il n'eut pas le temps d'éviter mais réussi tout de même à limiter les dégâts. La blessure était longue mais peu profonde. Il posa sa main dessus et regarda le sang la teinter. Ses yeux haineux regardèrent la jeune femme.
- Tu vas me payer ça !Il saisit un pistolet de sa ceinture et s’apprêta à tirer. Alors qu'il allait appuyer sur la gâchette, un coup de feu retentit non loin d'eux et le pistolet qu'il tenait vola dans les airs. Il cria de douleur, plaquant sa main contre son torse. Suzanne regarda dans la direction d'où venait le coup de feu.
- Lily !En effet, l'assassin se trouvait là, à côté d'un tas de foin, pistolet à la main et pointé sur du Casse.
- Bande d'enfoirées !L'homme s'enfuit, poussant une charrette qui se trouvait là juste devant la rue qu'il venait d'emprunter. Empêchant les deux jeune femmes de le suivre.
- Oh non tu ne t'échapperas pas comme ça !Suzanne grimpa aussitôt sur un toit pour se mettre à la poursuite du templier.
- Suzanne attend ! cria Lily.
Ne fais pas de bêtise s'il te plaît. Nous ne voulons pas perdre deux assassins aujourd'hui.- Nous en perdrons qu'un, à mon grand regret. Mais si je dois mourir, j'espère pouvoir emmener ce chien avec moi.Sur ces mots, elle partit. Du Casse courait peut être vite mais pas assez pour devancer Suzanne. Elle voulait à tout prix l'éliminer. Elle emprunta des raccourcis que seul les assassins connaissaient. Sautant de toit en toit pour rattraper le templier. Sa course effrénée ne dura guère longtemps. Elle rattrapa l'homme dans une ruelle peu fréquenté. Du haut de son toit, elle sortit ses lames secrète et bondit pour l'assassiner.
Du Casse tomba à terre, de nouvelles blessures mortelles sur le dos.
- Tu es... bien téméraire... ma fille, fit-il avec difficulté.
Suzanne lui donna un coup de poing au visage.
- JE NE SUIS PAS TA FILLE !!!- Hé hé… Tu portes pourtant mon nom.Elle se pencha vers lui et lui saisit le colle pour rapprocher son visage du sien.
- Je serais la dernière du Casse en vie. Ta mort sera profitable pour tous, ça fera un templier en moins. Et j'aurais vengé ma mère et Viktor. Crève sale chien !Elle le lâcha, le jetant presque au sol. Du Casse la regarda, un sourire gravé sur le visage. Il parvint à échapper un faible rire. Puis, son sourire disparut et il ne bougea plus.
Suzanne rentra au bureau des assassins. Aucune joie, aucune tristesse n'étaient présentes sur son visage. Juste des sourcils froncés et une haine sans précédent envers les templiers. Lily la rejoignit, une expression de soulagement clairement visible sur le visage.
- Suzanne, dieu soit loué tu es en vie.- Oui.Elle s'éloigna un peu.
- Et du Casse est mort. Un templier en moins aujourd’hui. Mais cela aura également coûté la vie de l'un des autres. Et ça, je ne le pardonnerais jamais aux templiers. Jamais !Elle regarda le ciel un instant. Le soleil se couchait et la couleur orangée du crépuscule commençait déjà à recouvrir le ciel. Suzanne ferma les yeux et respira profondément.
- Ils vont payer leurs crimes. Je les tuerai. Je les tuerai tous.Les templiers étaient et seront toujours ses ennemis. Passé, présent, futur. La guerre entre Templiers et Assassins avaient commençaient il y a des siècles de cela. Et ce n'était pas prêt de se terminer.Possessions : - 4 MQ122 (pistolet d'arçon, modèle 1733)
- bourse à balle (environ 40 balles en réserves)
- 2 lames secrète aux poignets
- 2 épées/rapières d'officier (18e siècle)
- bourse contenant de l'argent
- tenue d'assassin basique rouge et noir
- dague cachée dans une botte
- sacoche contenant des dagues à cordes
- bourse à bombes fumigènes (30 environ)
Permission : Libre.
Autorisez-vous les autres joueurs à influer sur le jeu de votre personnage via la zone RP Blue Hospel, c'est à dire à vous atteindre par le monde des rêves ? Oui.
Espace personnel : /
Décharge responsabilité : "Moi, joueur du compte personnage
Suzanne du Casse, déclare avoir pris connaissance que ce forum comporte une sous section interdite et cachée aux - 18 ans. Je prendrai soin de protéger la sensibilité des plus jeunes en usant des espaces consacrés si mes récits contiennent des propos violents, choquants ou à caractères érotiques. Toute infraction délibérée sera sanctionnée par la suppression de mon compte. Je prends connaissance de ces conditions en m'inscrivant et les accepte. L'administration du forum ne saurait en être tenue pour responsable."
Crédits avatar : Penelope Cruz dans le rôle de Angelica Teach (Pirates des Caraïbes 4)
Crédits signature : /
- Si jamais...:
Voici donc la fiche de ma petite Su'. J'ai fais en sorte de suivre à la lettre la fiche modèle. J'espère que l'histoire n'est pas trop courte et qu'elle suit le réalisme de l'époque. Comme vous pouvez le voir, je me suis profondément inspirée du jeu Assassin's Creed. Si jamais vous remarquez quelque chose de choquant ou improbable (irréaliste), faites - le moi savoir, j'y modifierais en conséquence.